par Johanne | 4, Déc 2025
Il arrive qu’on se sente encombré à l’intérieur. Pas forcément par de grands drames — souvent, ce sont des émotions qui s’accumulent, des pensées qui tournent trop vite, des tensions qu’on n’arrive plus à nommer. On sent que quelque chose demande à s’apaiser, mais on ne sait pas toujours comment s’y prendre.
Le Zensight est né pour cela : une manière simple, douce et étonnamment efficace de remettre du souffle dans l’espace intérieur.
Pas une technique de plus, pas un savoir-faire compliqué. Plutôt un langage intérieur.
Un langage que la Conscience comprend déjà
Avec le Zensight, on relance le dialogue entre les différentes parties de nous-mêmes : nos mémoires, nos automatismes, nos empreintes émotionnelles inconscientes…
Dans un monde où le mental mène le bal, analyse en continu, commente, anticipe — et s’épuise — le Zensight propose une voie différente : une approche qui contourne volontairement le mental, pour permettre à l’espace intérieur de se réorganiser là où c’est nécessaire. Cela s’accomplit sous l’égide d’une intelligence profonde, cette part de nous qui sait, qui relie, qui comprend au-delà des mots. (Vidéo: Pourquoi le Zensight touche si juste ?)
Suivre le mouvement intérieur
Au cœur du processus, il y a l’Intention : une orientation intérieure simple qui indique où le travail doit se produire. Une fois l’Intention posée, le processus s’accomplit avec fluidité, comme si le système savait exactement où aller. Les résistances se relâchent, le vécu se remet en mouvement, et quelque chose devient plus léger, plus clair, plus vivant.
Tout cela se passe dans les coulisses de la psyché, naturellement.
C’est ce qui rend le Zensight si accessible : il respecte le rythme de chacun, tout en permettant de véritables transformations.
Pour soi, ou dans un cadre professionnelle, c’est un chemin pour laisser l’intérieur s’harmoniser — avec douceur, précision et humanité.
Explorer l’univers du Zensight
Les séminaires de formation que je propose permettent d’entrer dans ce langage intérieur et d’apprendre à l’utiliser pour accompagner, apaiser et transformer.
Le calendrier est accessible ici (lien)
par Johanne | 11, Août 2025
Notre système de croyances se met en place dès notre plus jeune âge, au sein de la famille, de l’école, avec ce qu’on nous a dit, ce qu’on nous a appris à penser de la vie, de nous, de ce qui est bien ou de ce qui est mauvais. Nous forgeons nos valeurs à partir des héros et figures de proue désignés à notre admiration ou au contraire à notre réprobation, traitres ou coupables à divers titres sur qui jeter l’opprobre… Nous savons très vite quand nous avons bien agi ou au contraire quand nous méritons la réprimande. Sans que nous en ayons conscience, nous apprenons à penser, à juger, à réagir selon les principes éducationnels qui nous ont façonnés. « Nous fonctionnons à 95% de notre temps en mode automatique, suivant ce que notre subconscient a emmagasiné, sans filtre, au cours de notre enfance. Ces programmes téléchargés nous autopilotent, générant pensées et réactions et créant la vie que nous menons » (extrait de « Qui pense quand je pense ?« )
Don Miguel RUIZ décrit ainsi le « processus de domestication » (Les quatre accords Toltèques)
« Ce système de croyances est comme un Livre de la Loi qui dirige notre esprit. Tout ce qui se trouve dans ce Livre de la Loi est notre vérité, sans l’ombre d’un doute. Tous nos jugements se fondent sur lui, même s’ils vont à l’encontre de notre nature intérieure. […] Chaque fois que nous faisons quelque chose de contraire au Livre de la Loi, le Juge nous déclare coupable, nous devons être puni et avoir honte. […] Une autre part de nous-mêmes reçoit ces jugements : on l’appelle la Victime. La Victime subit la réprimande, la culpabilité et la honte. C’est cette partie de nous qui dit : Pauvre de moi, je ne suis pas assez bon, je ne suis pas assez intelligent, je ne suis pas assez beau, Je ne mérite pas d’amour. Le Juge est d’accord et dit : Oui, tu n’es pas assez bon.
[…] Voilà pourquoi il faut beaucoup de courage pour remettre en question ses propres croyances. Car, même si on ne les a pas choisies, il est néanmoins vrai qu’on leur a donné notre accord. […]
Tout comme le gouvernement possède un livre de lois qui contrôle le rêve de la société, notre système de croyances est le Livre de Lois qui dirige notre rêve personnel. Toutes ces lois existent dans notre tête, nous les croyons, et notre Juge intérieur fonde tout ce qu’il dit sur elles. Le Juge décrète et la Victime subit la culpabilité et la punition. »
Une matrice « artificielle »
Nous baignons dans un monde de fausses croyances, où l’esprit de masse est orienté sur tout ce qui peut nourrir un sentiment d’impuissance et de peur (maladie, conflits, catastrophes, pénuries de toutes sortes, échecs…).
Bien des états de stress résultent de ce conditionnement. Par exemple, un entretien d’embauche peut s’avérer un véritable parcours du combattant quand une part de nous croit que nous ne sommes pas digne d’intérêt, pas à la hauteur, que nous ne méritons pas qu’on nous fasse confiance… Nous nous rejetons au motif que nous sommes mauvais, que… et que… Autant de combats intérieurs qui se jouent, se rejouent et nous épuisent.
Il est pourtant une voix qui nous exhorte à penser hors de la boîte, à sortir de la matrice…
Notre nature est vibratoire
Cessons de nous flageller, au nom de valeurs qui ne sont même pas les nôtres, au nom d’idéaux fabriqués, inaccessibles. Nous sommes de plus en plus nombreux à sentir que nos préjugés, frustrations, sentiments de culpabilité — fruits de la pensée dominante — nous détournent d’une vérité profonde. Comme un appel à retrouver notre liberté, notre pouvoir intérieur. Comme un souvenir que l’on réveille, celui de notre puissance originelle.
Pas de combat à mener, on ne guérit pas par la lutte mais dans un espace de paix où nous permettons enfin que s’exprime notre nature vibratoire.
Sortir de la matrice et se dégager de l’emprise collective commence à l’intérieur de Soi par le retour à Soi, à notre nature multidimensionnelle. Chaque fois que l’un d’entre nous élève sa conscience, vibre dans de nouvelles fréquences où l’égo n’est plus le maître du jeu, il contribue à élever le niveau vibratoire collectif.
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par Johanne | 13, Juil 2024
L’approche originale et inspirante du Zensight.
Le ZENSIGHT fait appel à toutes les parties de notre être, notre mémoire consciente comme nos parts les plus profondément enfouies dans notre psychisme. Il s’adresse au MOI et à ses multiples facettes mais aussi au SOI.
Pour les distinguer, le MOI serait la « personnalité » incarnée dans ce monde, avec les événements de vie, les mémoires qui s’expriment à travers les âges, tout ce qui constitue l’histoire ; le SOI, ou MOI supérieur, vivant au-delà de la matrice artificielle, présiderait à notre figuration en ce monde, c’est cette part que nous pourrions appeler « notre part angélique », notre lien à la Source.
En découvrant que le vide n’est pas vide, la physique moderne se risque à parler d’un espace de Conscience. Un éther fait « de substances subtiles distinctes de la matière et permettant de fournir ou transmettre des effets entre les corps ».
Voilà qui pourrait accréditer, en d’autres termes, la vision spirituelle exposée ci-dessus. C’est dans ce champ de conscience où rien n’est séparé (présent, passé, futur), où tout est information, que le Tout possible s’offre à nous.
La démarche du Zensight est de confier toutes les transformations à notre SOI, garant de notre plus haut bien.
Conçu pour être facile à utiliser, le Zensight est un procédé simple et puissant de transformation et d’autoréparation personnelle, sans que nous ayons à analyser les « comment » et les « pourquoi » qui nous ont fait trébucher.
Il agit sur le système énergétique de notre corps qui contient toutes les informations relatives à notre vie dans son ensemble avec notre vision du monde, nos croyances, nos possibles… jusqu’au cœur de notre ADN.
S’adressant à toutes les parties de nous, le ZENSIGHT ravive en nous l’énergie de vie. Il contribue à élever nos vibrations et favorise la communication subtile avec le SOI, l’essence de notre existence.
par Johanne | 21, Mar 2024
Enfouie au plus profond de moi, il y a cette image du claquement de doigts qui peut tout changer, le “lève-toi et marche” qui enclenche la métamorphose, juste parce que je le demande. Sans que j’aie rien à faire pour cela… C’est comme une évidence. Le ZENSIGHT procède de cette dimension-là.
Vous ne me croyez pas ? Je vous en donne juste une illustration :
Lors d’un de mes ateliers « à thème » (nous étions en fin d’une journée sur le thème de l’abondance), alors que je débutais une session en ZENSIGHT après avoir fait choisir à chacun une image-signal de traitement (voir la vidéo sur ce point), l’un des participants me dit en grimaçant :
« Je ne sais pas ce qui se passe mais là, depuis quelques phrases, j’ai une douleur à la tête… ! »
La réponse avec Zensight se passe de commentaires :
« Je guéris toutes les raisons qu’a cette douleur à la tête de surgir maintenant. Prends ton signal… »
Quelques petites secondes plus tard, la réaction fuse :
« Qu’est-ce que c’est ce truc !? C’est parti tout d’un coup ! »
Dans cet exemple, notons que je n’ai pas eu à chercher pourquoi cette douleur était apparue, ni quelles émotions pouvaient être en lien. Je sais seulement que « quelque chose », une raison, une émotion, une situation… est en connexion avec « ça » mais je n’ai pas eu besoin de la connaître ni de l’analyser.
Certes, tous les traitements avec le Zensight ne sont pas toujours aussi expéditifs, aussi définitifs, aussi péremptoires, aussi exécutifs… Cependant, j’observe, là, la clé de la transformation : fait-on exprès de se déclencher une douleur à la tête ? Cela se passe à l’insu de notre mental ! Et c’est encore là que cela se dénoue, au-delà du mental. Dans une zone où tout existe, la difficulté comme la non-difficulté. Dans la partie « non consciente » de la conscience. Je ne m’occupe que d’indiquer la direction et je laisse faire. Cela pourrait presque sembler magique mais pourquoi devrions-nous nous étonner ? Pourquoi ce que nous avons mis en place dans un sens ne pourrait-il pas être repris, corrigé, résolu, remis en état ?
Une parfaite illustration du fameux « lâcher prise », cesser d’analyser, de vouloir comprendre, de contrôler… L’avantage, avec le Zensight, c’est que l’étau du mental se desserre sans qu’on ait à chercher comment y parvenir. La décision s’opère ailleurs, par-devers nous. Ah ! Ah !
Pratiquer le Zensight serait ainsi faciliter la communication entre toutes les parties de nous, et laisser s’opérer la transformation pour notre plus profond intérêt.
Et si cela ne marche pas toujours d’un claquement de doigts c’est que nous érigeons limites et obstacles de toutes sortes entre nous et notre bien-être. C’est pourquoi la prise en compte de toutes les résistances à aller bien, domaine étudié et largement développé par la psychologie énergétique, constitue un des bastions du Zensight qui assure son efficacité surprenante.
par Johanne | 30, Nov 2023
Tout ce que l’esprit peut concevoir et croire…
Nous ne pouvons découvrir et réaliser que ce que nous sommes en mesure de concevoir ou de conceptualiser.
On raconte que les peuples précolombiens ne pouvaient pas voir les bateaux des conquistadors à l’horizon. Leurs yeux ne soupçonnaient pas ce qui était hors de leur réalité et n’entrait pas dans leur représentation du monde. Seuls les prêtes et chamans, alertés par des visions, purent deviner puis distinguer quelque chose se dessinant dans le lointain.
De même, et au risque de souligner une évidence, une technologie n’est possible que lorsque nous sommes capables de la concevoir. C‘est à dire que nous sommes devenus capables de la penser assez précisément pour la réaliser, techniquement. Parce que nous avons déjà en nous un projet, une intention, que nous le croyons possible, alors, avec les connaissances qui le sous-tendent, appareils, machines et technologies diverses peuvent le mettre en œuvre pour nous. Nos machines ne font que ce que nous leur demandons de faire parce que nous l’envisageons d’abord.
Mais pourquoi n’appliquons-nous pas nous-même, directement, ce que nous demandons à la machine de faire ?
Et là, j’entends déjà monter en chorus : « On a tout en nous ! ».
Nous sommes dotés d’une capacité de créer sans technologie (disons sans une technologie extérieure), uniquement en nous projetant en conscience, en nous reliant à la Lumière de Conscience. De nombreuses pratiques spirituelles encouragent cette reliance à notre Soi, à notre puissance créatrice — la méditation, par exemple, et les techniques énergétiques, notamment pour déjouer nos résistances et passer à une autre octave de nous-mêmes.
Ce sont nos résistances, avec nos émotions et nos pensées, qui se mettent en travers du chemin. Toujours et encore attachés à des croyances profondément enracinées, nous contrecarrons le « miracle » que nous souhaitons pourtant. Je trouve très parlante l’histoire de Pierre marchant sur l’eau parce que Jésus le lui ordonne mais qui, voyant la force du vent, est pris de peur et se met alors à s’enfoncer (Luc 5 :4). Une machine, elle, n’a ni croyances, ni soubresauts émotionnels. Son programme se déroule, imperturbablement, comme il est prévu.
Chambres à Tachyons, Scalar, Capsules de régénération… les technologies dévolues au bien-être et à la bonne santé fleurissent, nous proposant la guérison que nous recherchons. S’allonger dans un espace dédié, et laisser divers dispositifs, capteurs, ondes de formes, géométrie sacrée, générateurs de fréquences… agir sur ce qui est déréglé, c’est aussi s’ouvrir à l’idée que le changement est possible. Dans ce temps où nous ne savons pas encore produire ou enclencher l’apparente magie de ces phénomènes, une technologie extérieure pourrait être une étape, un moyen pour accéder à d’autres façons de vibrer, favoriser ou rétablir les processus biologiques.
Comment stimuler notre technologie intérieure ?
Les techniques de bien être, de libération des émotions, de guérison des mémoires… sont seulement des moyens d’aider à atteindre notre intériorité, de faire se relâcher un attachement à un passé révolu. Ce pouvoir est déjà là, n’attendant que d’être réveillé. Un peu comme une graine enfouie dans le sol gelé de l’Arctique accomplit soudain son cycle de germination à l’apparition d’un rayon solaire qui la sort du long sommeil hivernal et la ranime.
Nous concernant, qu’est-ce qui peut stimuler notre réveil et ranimer notre pouvoir intérieur ? Sans hésiter, je dirai que les nouveaux paradigmes portés par la physique moderne contribuent déjà à secouer notre torpeur. Nous sommes invités à voyager avec l’esprit, à voir les choses avec d’autres yeux, à sortir du cadre habituel de nos références.
On peut imaginer, par exemple, recueillir une information holographique à une époque où une cellule fonctionnait bien et la projeter sur notre réalité du moment. Ce qui fait dire à Philippe BOBOLA (Docteur en physique, chimie, biologiste, anthropologue et psychanalyste) que des « cellules malades » sont des cellules « dérégulées » par rapport à des cellules « normales » vivant dans une autre temporalité. Wouahou ! La direction est donnée : accéder à l’information correcte, à l’image vibratoire de perfection, à la cellule primordiale, et l’importer, comme une greffe ramenant la santé !! Une application de l’intrication quantique qui se joue de la temporalité. De quoi inspirer de nouvelles technologies !
A moins que nous ne devenions capables d’accomplir nous-mêmes ce voyage dans la conscience (intemporelle), pour nous (re)connecter aux bonnes informations. N’est-ce pas cela aussi « activer le guérisseur intérieur » ?
En douterions-nous ?
Comme bien des recueils d’enseignements universels, la Bible (sans considération religieuse dans mon propos) nous propose de nombreuses invitations à retrouver notre pouvoir. « Si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à ce sycomore : Déracine-toi, et plante-toi dans la mer; et il vous obéirait. » (Luc 17, 5-10)