Evelyne est aujourd’hui praticienne EFT. Elle apporte ici un exemple de la créativité spontanée dont elle a fait preuve à ses débuts, il y a quelques années maintenant. L’EFT paraît parfois tellement simple à pratiquer qu’on se demande bien pourquoi on ne l’enseigne pas dès la maternelle…
Sur les chemins de Compostelle:
Après une magnifique mais dure journée de marche sur les chemins, je ne pense qu’à prendre une couche, une douche et une bière. Une bière avec mes sœurs, autour d’une table.
Ma sœur, Annie, me dit : » Il y a un homme qui a mal au genou… il ne peut plus marcher. »
Ce soir-là, j’étais particulièrement fatiguée. Je voulais juste rester tranquille, mais je me suis dit : « Il pourrait être mon fils… allez, allons-y. »
Devant cet homme, je me suis tout d’un coup demandé : « Comment je vais faire ? Je ne parle pas sa langue. » C’était un asiatique.
Et puis je me suis lancée avec ces mots : « Look at me », en lui montrant mes yeux (je ne savais dire que cela !). Puis je lui ai montré son genou en faisant « aie aie aie!!! »
Nous avons fait la ronde EFT avec « aïe aïe aïe… ! » . Une seule ronde a suffi. Il s’est levé, m’a remerciée et toutes les personnes qui étaient autour de nous, dans ce gîte, ont voulu en faire autant. J’ai joué le jeu. Nous avons tous pratiqué l’EFT, toutes nationalités confondues, juste « aïe aïe aïe… !!! »
Ce fut une magnifique expérience et je n’étais plus du tout fatiguée.
Evelyne
Note de Johanne : Bravo à la créativité d’Evelyne ! Notons que nous sommes, là, dans des soulagements rapides qui font partie des « petits miracles » en EFT. Gary Craig insiste pour que nous ne nous arrêtions pas à « l’effet miracle » au risque de nous garder dans « la grande Illusion de l’EFT ». Car la pratique de l’EFT s’appuie sur diverses approches pour traiter en profondeur, en vue de résultats durables. Mais en l’occurrence, l’objectif était bien le soulagement immédiat.
Une belle illustration que ce ne sont pas les mots savants mais la sensation physique sur laquelle on se centre en « tapotant » qui importe.
Evelyne LE GUILLY-BERNARD 47260 Verteuil d’Agenais eveljc@orange.fr
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
De nombreuses approches (comme l’approche du « film » ou l’approche « raconter l’histoire »)mariées à l’outil EFT permettent des résultats fabuleux, souvent rapides pour sortir la personne des problématiques où elle se trouve engluée.
Cependant, sans entrer dans les explications (fruit d’analyses antérieures), ce sont souvent de simples mots, en dehors de tout raisonnement (reconstitution logique), qui permettent de dénouer des associations complexes, comme dans le cas des addictions. Telles des images émotionnelles en surimpression, ces mots nous offrent alors des clés pour atteindre la perturbation énergétique et la dissoudre. « Suivre la piste des mots », c’est une approche que je trouve souvent efficace pour entrer dans le jeu « du coq à l’âne » émotionnel et ouvrir l’oreille de l’intuition.
Tous ceux qui ont cette peur de ne pas trouver le mot « juste » peuvent alors accorder une vraie place à leur mythologie personnelle et se faire confiance.
Clothilde a un problème de poids et d’image. “Je me sens vieille”, ajoute-t-elle en précisant qu’elle n’a que 52 ans . En quelques mots, elle explique qu’elle a arrêté de fumer 3 ans plus tôt et qu’elle a “remplacé par le sucre”. Elle est passée de 72 à 101 kgs. Elle connaît le principe des addictions et parle d’un manque, qu’elle ressent et le relie au sentiment d’abandon, sans trouver d’explication suffisante et convaincante à ses propres yeux. Car elle a « une famille normale », où elle avait “4 parents”, puisque parents et grand-parents vivaient sous le même toit. Sa mère et sa grand-mère se disputaient même souvent pour elle.
Je lui demande de me parler de son histoire avec la cigarette. Elle note qu’elle a fumé “ado”, et pendant 5 ou 6 ans, puis qu’elle a arrêté 11 ans, en se mariant, parce que son mari ne fumait pas. Elle a repris 6 mois après son divorce mais ne peut dire ce qui l’a amenée à reprendre, ni dans quelles circonstances ; elle dit seulement: “Ca comble un vide”, sans pouvoir préciser. La question « qui fumait dans sa famille » la conduit à l’image de son grand-père qui roulait ses cigarettes. Elle évoque une image très précise, où il fumait sur un perron, assis sur un fauteuil, avec une veste en velours marron. On tapote dessus. Elle ressent un fort sentiment de joie. Je lui demande quand elle a perdu ce grand-père, et elle se rend compte alors que c’est après son divorce, juste un peu avant qu’elle se remette à fumer, peut-être à quelques jours près.
A ma question sur ce qu’elle ressent en évoquant son histoire, elle porte la main sur son estomac. : « C’est là. » Quand je lui fais préciser ce qu’elle sent, « là », elle dit: “Un vide”, “un creux de l’estomac”, qu’elle peut décrire en forme de “boule”. Elle évalue l’inconfort à 8/9. “Même si j’ai ce vide au creux de l’estomac, je m’aime et je m’accepte profondément” Après la ronde* sur “j’ai ce vide” et quelques variantes, “cette boule vide”, “ce vide au creux de l’estomac”, la boule est encore là, mais moins inconfortable, à 5 ; elle s’est un peu aplatie. “Même si j’ai cette boule aplatie, je m’accepte totalement et profondément” Après cette 2ème ronde, elle peut sentir comme “une cavité noire”; elle ne sait rien de ce qu’il y a à l’intérieur, “parce qu’elle est noire”, précise-t-elle.
Après avoir tapoté sur cette sensation de « cavité noire », je lui demande à quoi le mot « noir » la renvoie dans son histoire, à quoi elle pense, là, tout de suite. Elle se souvient alors que, petite, quand elle faisait trop de bruit en tapant avec une balle contre le mur de la cuisine, on la mettait sur le perron, pour la punir, “toute seule dans le noir”, et c’était le soir, il faisait nuit. On tapote sur un souvenir de cette petite fille, assise sur ce même fauteuil évoqué plus haut. “Même si j’étais punie, toute seule dans le noir, je m’aime et je m’accepte avec mon histoire”
Dans l’estomac, la sensation a changé. Clothilde indique très précisément la forme qui est là, maintenant : elle dessine avec le doigt une forme arrondie vers le bas, mais plate dessus. “C’est drôle”, dit-elle, “c’est comme un grand sein à l’envers, vers le bas, et dessus c’est plat!”; elle s’étonne en souriant. Je lui demande alors si elle connaît un peu son histoire, si sa mère l’a nourrie au sein, par exemple, et pendant combien de temps. Pour elle, il ne fait pas de doute, à la campagne, c’est comme ça qu’on élevait les enfants ; et dernièrement, elle a même entendu sa mère lui dire que chaque fois qu’elle pleurait elle lui donnait le sein. Elle commente: “Dès que j’ouvrais la bouche, elle me donnait le sein… et après plus de contact” Sans épiloguer sur les explications sous-jacentes, nous tapotons sur cette image-sensation : “Même si j’ai comme un sein dans l’estomac… et pour la ronde, nous évoquons l’image sous tous ses angles : « ce sein dans l’estomac », « un sein à l’envers », « tout plat dessus », « comme fermé » « ce grand sein à l’envers »…
Après la ronde de tapotage, elle sent une chaleur douce et agréable à l’intérieur. Plus aucune sensation de vide ou de manque.
Nous clôturons la séance avec la méthode Trio-Choix: “Même si j’avais un manque et un vide à combler dans l’estomac, je choisis maintenant de vivre avec cette douce chaleur que je sens en moi”.
Cinq mois plus tard, je reprends contact avec Clothilde. Outre son accord pour témoigner de notre séance, j’ai plaisir à entendre comment elle se sent maintenant.
Le bien-être ressenti « est resté » me dit-elle. Il lui a apporté un sentiment de sécurité et donné un regain d’énergie. Elle s’étonne presque en me racontant comment elle a décidé, cette année, de suivre un programme d’accompagnement avec atelier de diététique, cours de cuisine, et diverses activités ludiques ou plus physiques comme la marche nordique … à l’occasion d’une cure en rhumatologie qu’elle fait chaque année. Cette fois, un processus était enclenché et elle a rajouté sans effort ces activités. Je me hasarde à demander : « Et côté kilos… ? quelque chose a-t-il changé ?… ». La réponse fuse : « Ah, oui quand même ! 6 kilos en moins. ». « Et vous avez observé le changement après ce programme d’accompagnement ou déjà avant ? » « Non, ça avait commencé un peu avant… » « Comme c’est drôle… et vous ne me disiez rien… »
Au fur et à mesure que nous bavardons, Clothilde s’étonne de ne pas avoir fait le rapprochement plus tôt.
C’est vrai ça, c’est tellement évident quand un mieux être s’installe, que les choses se mettent en place sans effort ! Or la survenue d’effets positifs, qui s’invitent même doucement après une séance d’EFT, est tellement fréquente, que ce n’est plus une « coïncidence ». Même si nous ne savons pas expliquer où ni comment s’opère exactement le relâchement, nous pouvons observer le réaménagement de nos vies. Pour Clothilde, le résultat est indéniable, c’est comme si elle avait « gravi une nouvelle marche ».
* la ronde: dans le jargon des praticiens EFT, il s’agit de la série des points, tapotés l’un après l’autre.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
Vous avez peut-être déjà lu le témoignage de Yves dans « EFT en famille ». Deux mois et demi plus tard, sa nièce, enthousiaste devant les effets surprenants constatés sur elle, veut maintenant lui organiser des séances avec ses amis et relations. Une occasion de rappeler que la meilleure publicité est le bouche à oreille.
Voilà le texte qu’elle adresse à sa liste de contacts (et que Yves me confie):
Bonsoir les filles et les garçons
Suite à un mal de hanche apparu un matin au réveil d’un jour d’avril 2012 (de mémoire), et après tous les examens médicaux et inimaginables réalisés depuis 1 an et demi, je ne savais plus où me jeter. Une chose était sûre, je tenterai encore et encore n’importe quoi pour me débarrasser d’une douleur qui m’empêchait tout simplement de tenir longtemps en position debout, de marcher, de danser et de faire tout sport d’appui.
Au mois de juillet de cette année, j’ai revu mon oncle Yves (le frère de maman qui habite Vannes). Après l’avoir écouté parler d’une technique appelée l’EFT (Emotional Freedom Techniques) qu’il pratique depuis 3 ans, je me suis laissée « embarquer » dans une séance qui a duré 3/4 d’heure. Je vous l’avoue, jamais je n’aurais cru avoir un tel résultat si je ne l’avais pas vécu: en début de séance (comme depuis 16 mois) je pouvais à peine appuyer sur l’os de ma hanche sauf à me faire hurler de douleur, à la fin de la séance, au bout de 3/4 d’h je n’arrivais plus à localiser ma douleur. J’ai regardé Yves avec un gros point d’interrogation sur mon visage …que s’est-il passé ? … Il m’a répondu: « Ne cherche pas, n’y pense plus » …
D’accord d’accord …
L’été passé, je peux dire de manière certaine que ma douleur n’est pas revenue, j’ai vraiment pris du plaisir à rejouer au tennis sans chercher le pourquoi de la chose.
Vous pouvez découvrir la technique sur internet il y a plein de vidéos intéressantes et notamment via un lien que Yves m’a envoyé: http://www.youtube.com/watch?v=lNtEs6S4KZY
L’EFT s’applique pour accéder au mieux-être, combattre des angoisses, toutes phobies, peurs, honte, problème relationnel, haine, dépendances (cigarettes, …), tout traumatisme passé gardé en mémoire par le corps, état de fatigue, accompagnement dans un programme de perte de poids, maux en tous genres ( maux de dos, maux de têtes…), confiance en soi, etc etc.
Vous pouvez être intéressés mais vos enfants aussi !
J’ai parlé à beaucoup de mon expérience avec l’EFT (Technique d’acupuncture sans aiguilles). Certains m’ont déjà fait part de leur souhait de faire une séance.
Quelle meilleure publicité pour l’EFT que les exemples vivants…?
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
L’EFT n’en finit pas de nous réserver des surprises. Je précise que l’histoire qui suit (racontée avec permission) confirme bien pour moi que les praticiens EFT n’ont pas besoin d’apporter une connaissance, voire une « science » avec des explications rassurantes et valorisantes sur l’origine de nos maladies. Juste apprendre à manier l’outil, à creuser un peu, à suivre un fil(on) et derrière, il n’y a plus qu’à accepter le cadeau.
Il y a 2 mois, Gilles (ce n’est pas son prénom réel) accompagne un ami qui vient pour aborder un problème avec l’EFT. Gilles assiste à la séance et indique qu’il aimerait bien lui aussi essayer cette technique.
Il ne sait pas trop ce qu’il pourrait travailler, mais assez rapidement la séance s’oriente sur son père, une histoire qu’il raconte, sans doute déjà maintes fois répétée… SON histoire, celle d’un enfant seul, orphelin de mère dès l’âge de 13 ans , une mère que son père a pleuré pendant 2 ans, un père muré dans sa douleur, le laissant seul à assumer le quotidien (le linge, la nourriture…) alors qu’il n’avait que 13 ans.
Et puis soudain, sa voix s’étrangle, il a du mal à respirer.
On tapote sur ces symptômes physiques… Lorsqu’enfin il peut articuler à nouveau, il remonte jusqu’à un souvenir concernant la mort de son père dont il a « senti la peur » et gardé « le regard ahuri », avec une culpabilité de n’avoir pas pu l’accompagner dans ses derniers instants, alors qu’il avait pourtant des moyens pour l’aider dans ce passage. (Gilles me dit faire du « développement personnel« ). L’image du « regard ahuri » reste bien vivante, située à la veille de la mort, à l’hôpital où son père est décédé durant la nuit suivante.
On a tapoté sur cette image et sur tout ce qui y était accroché et remontait. « J’ai senti tant d’impuissance en moi devant ta peur de la mort, papa… « Je n’ai pas su t’aider pour que tu aies moins peur, papa… « Je n’ai pas fait mon devoir… « Je n’arrivais pas à parler avec mon père…
Il évoque la maladie d’Alzheimer des dernières années de vie de son père, et se souvient d’ailleurs qu’il n’avait jamais vraiment pu communiquer avec son père, tellement perdu dans son chagrin après la mort de sa femme. C’est normal, elle « s’occupait de tout, savait ce qu’il fallait faire…».
Au fil de la séance, il ose se souvenir de « l’osier sur ses mollets et ses cuisses ensanglantées » suite aux « raclées qu’il recevait de sa mère »… , « une femme qui avait des principes », «mais qui avait raison aussi », « c’est elle qui savait ».
On tapote encore sur tout cela.
Gilles découvre aussi que cette histoire d’enfant seul lui colle à la peau. Dans sa famille, les enfants se trouvent souvent orphelins de mère dans leur jeune âge. Il parle de vies antérieures où il a été un enfant abandonné, ou encore seul dans une ambiance monacale…
On tapote sur les ressentis qui sont là, accompagnés de toutes les sensations (physiques) qui remontent. On repère le programme répétitif, dont il « voit » l’activation inconsciente et qu’on tapote avec la méthode Choix.
« Même si j’ai en moi un programme d’enfant seul, je choisis maintenant de vivre pleinement ma vie avec tout mon potentiel »
Il se sent parfaitement bien et évoque alors « la cigarette au goût de miel » qu’il partageait parfois avec son père. (cela explique sans doute qu’il n’a plus eu envie de cigarettes dans les jours qui ont suivi la séance, même s’il a recommencé au bout de quelques jours ; on reprendra là-dessus s’il le désire)
Quand la séance se termine, il se sent en paix avec son histoire. Son regard est clair, ses traits détendus… comme on le voit si souvent après une libération.
Le plus inattendu vient ensuite.
Huit jours plus tard, l’ami qu’il accompagnait me téléphone et m’apprend que, depuis, Gilles ne se lève plus la nuit pour uriner (jusqu’à 6 ou 7 fois comme avant), et que même le jour, il vit normalement sans aller aux toilettes jusqu’à plusieurs fois par heure, avec souvent des douleurs d’infections urinaires dont il souffrait depuis très longtemps.
Cela fait plusieurs mois maintenant, et cet « effet secondaire » bénéfique persiste.
Alors, oui, les problèmes de pipi… on sait bien, on a tous des tas d’explications là-dessus : « le père » diront les uns, « la mère », affirmeront les autres, ou tout ce que nous avons appris à ce sujet. Mais en l’occurrence, il n’a pas été nécessaire d’en parler.
Les émotions, les symptômes, le problème… quelle importance ! Tous les chemins mènent à Rome.
Merveilleux EFT qui n’a pas besoin qu’on sache pourquoi ou comment c’est guéri !!! C’est de l’Amour à l’état pur.
Toute ma gratitude, Louise, pour avoir colporté jusqu’à moi cet outil merveilleux donné au monde par Gary.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr,site : https://johannedesterel.com
C’est un sujet très sérieux sur lequel Marie-Hélène apporte son témoignage. Vous pourrez trouver en fin d’article un lien très documenté sur cette question, et qui sait, vous découvrir vous aussi un talent particulier dans ce domaine.
Mes voisins ont un chien, « Labruti », qui vit dans la cour, située juste en-dessous de mes fenêtres. Un gros chien, qui a besoin d’énormément d’espace, et là, il est enfermé dans quelque chose comme 25 ou 30 m². Un chien qui, en dehors de son travail de chien, aboie dès qu’un chat se promène ou qu’un oiseau passe. Un chien qui supplie dès que ses maîtres sont à l’intérieur. Un chien qui s’ennuie. Un chien qui ne connaît ni jour ni nuit… Peu lui importe qu’il soit 2h ou 10h du matin, 20h ou 23h : pour lui, c’est toujours l’heure d’aboyer, geindre et grogner! Il n’obéit même pas aux ordres des habitants de sa maison. Et eux, c’est à croire, ne l’entendent pas.
Il était devenu un véritable cauchemar.
L’EFT m’a permis de transformer la situation, en commençant par transformer mes sentiments à son égard. Je le détestais, et le simple fait de l’entendre me mettait hors de moi. Il fallait une bassine d’eau pour le faire taire. J’ai suivi un atelier EFT, au cours duquel, en cherchant une réaction personnelle très énervante, Johanne m’a suggéré de travailler sur le chien. Je n’y croyais pas moi-même, et ce jour-là, j’étais bien incapable de penser sérieusement « je suis un bon chien », pour moi c’était bien plus absurde que pensable ! Et pourtant… depuis, Labruti n’est plus le même.
Trois rondes en direct, en face à face, « Même si j’aboie pour un rien, je suis un bon chien, et on m’aime et on me respecte infiniment » ont suffi à le calmer. Au départ, il s’est tu, il m’a regardée sans comprendre, avec des yeux de parfait abruti, et comme je continuais mes rondes en tapotant et en lui suggérant « je suis un bon chien », il s’est dirigé vers sa niche, en me fixant toujours, la queue relevée, la tête tournée vers moi, les oreilles toujours dressées (on aurait dit un crabe, un animal articulé), l’air non pas penaud mais interloqué. Il est allé se coucher. Je ne l’ai pas réentendu de la journée.
Peu à peu, au cours des rondes suivantes, son regard a changé : il est devenu plus « humain » !
Maintenant, le faire taire est devenu un jeu d’enfant : il obéit à mes ordres. Et en cas de récidive, il suffit que je le regarde, et il va à sa niche, comme un bon chien qu’il est devenu, sans un mot, sans aucune haine ou violence. C’est devenu un code ; le respect s’est instauré entre nous. Même plus besoin de tapoter. C’est magique !
Et j’ai gagné un ami.
Marie-Hélène
Sur la question de la communication avec l’animal, vous pouvez explorer le site de Laila Del Monte : https://lailadelmonte.fr
Sur ce blog, vous pouvez lire aussi (la tourterelle) – (EFT et communication animale) – (étonnée et bluffée)
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
Soulagée d’une douleur d’arthrose en quelques minutes :
« J’ai découvert l’EFT (fin août 2009) au cours d’un stage qui m’a fait découvrir une méthode efficace sur la liberté émotionnelle. En effet, au cours de la pratique de cas, j’ai exposé mon problème d’arthrose que j’avais dans le bas du dos depuis plusieurs années. Cette douleur représentait un poids lourd qui m’empêchait de me tenir correctement, j’étais comme repliée, les épaules rentrées. Puis, nous avons travaillé sur mon cas en faisant plusieurs rondes* et quelques moments après la douleur s’était « comme envolée ». J’étais vraiment stupéfaite de la réaction de mon corps alors que j’avais essayé de régler mon problème par d’autres méthodes comme l’acupuncture, la kinésiologie. Merci, à toi, Johanne, de m’avoir fait découvrir cet outil merveilleux de guérison ».
Ghislaine du 82
* C’est ainsi qu’on désigneles tours ou séquences de tapotage sur les points en EFT. Lors de chaque ronde, on se centre sur un aspect particulier du problème.
La plupart de nos douleurs physiques ont une cause émotionnelle. La séance avec Ghislaine a mis en évidence l’impact d’un événement non résolu, dont son corps gardait la mémoire « douloureuse ». L’EFT s’appuie sur la vision holistique que nous sommes un corps-esprit.
Vous trouverez sur ce site d’autres témoignages du traitement de la douleur. Par exemple le cas de Jocelyne.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
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