Comportements alimentaires et addictions

J’ai retrouvé le plaisir de manger et j’ai perdu du poids !

Pendant l’atelier de formation à la 1ère partie de l’EFT,  fin août, j’ai proposé de travailler sur mon comportement alimentaire.

J’ai toujours eu plaisir à manger et je suis gourmande, mais j’en arrivais, au gré de perturbations dans ma vie familiale, à avoir des compulsions alimentaires qui ne m’apportaient même plus le plaisir de la compensation mais de la souffrance.

Après cet atelier, j’en suis arrivée très vite à avoir un comportement alimentaire équilibré, sans que ce soit par un contrôle de ma part, comme cela pouvait l’être auparavant. Mon système digestif est naturellement rassasié plus vite. J’ai retrouvé le plaisir de manger et j’ai perdu du poids ! J’ai par ailleurs une super forme.

Merci.

Martha

Fini le café au lait ! 

Cinq jours après une séance sur l’envie irrépressible de sucre et particulièrement du café au lait bien sucré, Magali témoigne.

Je ne peux pas tarder davantage à vous dire que l’envie de café au lait à laquelle j’ai cédée en rentrant de notre session a été la seule.  Je viens de jeter le reste du lait qui a bien entendu tourné depuis. Et cela m’a rappelée à l’ordre de ne pas  encore vous avoir dit que votre séance m’avait bel et bien débarrassée de cette pulsion quotidienne.  

Le reste suivra en son temps je présume, mais je peux déjà affirmer que je trouve le cake de moins en moins agréable chaque jour. 

Magali

Si vous partagez ces témoignages, merci de citer vos sources:
Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
courriel :
 
jod470@orange.fr,  site : https://johannedesterel.com

Le « poids »… des mots

Anne connaît et pratique l’EFT depuis plusieurs mois.  Assidue du Processus de Paix Personnelle, elle s’émerveille des résultats. Cependant depuis une quinzaine de jours, elle a un inconfort qu’elle ne sait pas trop comment aborder.

 « J’ai un poids », explique-t-elle, « là » et elle fait le geste qui désigne son entrejambe, depuis le pubis jusque très largement entre les cuisses. Elle me regarde, sans feindre son étonnement, et ajoute « c’est comme des poids de pendules », « lourds », « entre les jambes ». « Ils descendent quand même jusqu’aux genoux ! Ca pèse, c’est inconfortable et ça m’empêche d’avancer comme je veux ».

 Nous tapotons tout de suite sur ces sensations, dont elle évalue l’inconfort à 8/9 sur 10 et au cours de la ronde, elle écarquille les yeux et me livre l’image qui se présente à elle, tellement surprenante à ses yeux qu’elle la chuchote : « C’est comme une paire de… testicules ! », elle  esquisse même un geste des mains qu’elle n’ose pas achever, « oooh… mais… je suis une femme quand même… ? », sa voix est tellement basse qu’elle se penche en avant pour la porter vers moi. « Je les vois », murmure-t-elle encore avec un début de sourire ébahi.

 Anne est un petit brin de femme, dont la grâce et la douceur ne laissent aucun doute sur sa nature féminine. Je lui demande de se centrer simplement, sans jugement particulier, sur cette image. En reprenant ses mots, nous continuons à tapoter sur « ces poids », avec tous les aspects qui se présentent, de « la pendule » aux « testicules ».

Après quelques rondes, la sensation de poids diminue. Ils sont plus petits et une autre image vient alors se superposer, « des petits pois à manger » !

Anne est maintenant à la cantine, devant une grande assiette blanche (elle ne voit pas le contenu). Elle se souvient qu’à l’école l’instituteur la forçait et la punissait car elle ne pouvait pas avaler la viande rouge… ! Il y a quelques mois, nous avions déjà travaillé sur une scène à la cantine, en lien avec la difficulté d’avaler (et le cortège des émotions associées, impuissance, colère…)

Et tout à coup, tandis que nous poursuivons la ronde, la voilà qui s’exclame « Mais si j’avais eu une paire de c……., je lui aurais craché à la figure ce qu’il me forçait à avaler ! ».

Très vite le mot « paire » devient « père » ; Anne se souvient : « Un  jour, mon père, lui, il lui a montré qu’il en avait une paire ! il a collé l’instit. contre le poteau ! Maman avait déjà dit maintes et maintes fois à ce monsieur que je mangeais peu, et de ne pas me forcer… Ce jour-là, papa a eu le courage ! Il est venu me chercher à midi et je n’ai plus mangé à la cantine. »

Quelques jours plus tard, Anne m’écrit ceci : « Quel jeu de mots ! Et moi, aujourd’hui, je n’ai plus de poids qui pend entre les jambes ! »

« A la fin de la séance, j’ai vu un lion rugir en moi et je sais que ma force intérieure a repris sa place. J’ai ressenti comme une cicatrisation et une douce chaleur a envahi mes entrailles. »

Cela fait partie des « petits bonheurs » fréquents en EFT, où l’on tire un fil, sans chercher à comprendre ni à expliquer les liens logiques. Les mots sont «détricotés » par une 3ème oreille, qui, profitant des doubles entendements (auditifs), opère des superpositions, rapproche des événements, entend à d’autres niveaux.

Un autre décryptage permet alors d’ouvrir la porte à des significations plus profondes, comme dans les rêves. Les mots s’offrent en tant que symboles, permettant au sens caché des choses de se dévoiler.

Ce qui paraît un jeu de mots est l’une des clés que nous offre la langue pour restituer la substance de l’expérience, les « traces sensorielles » associées à un contexte émotionnel vécu dans le passé. Des informations, accumulées dans notre cerveau, sous forme d’images mentales visuelles, auditives, tactiles, gustatives, olfactives, kinesthésiques… surgissent comme des éclairs de conscience.

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Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
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Etonnée et bluffée…!

Merci à Joelle pour ce partage sur ses premiers « essais » réussis après un atelier de deux jours.

Un petit coucou pour te donner quelques nouvelles une semaine après le stage. (…)

J’ai eu (par bonheur) l’occasion la semaine dernière de faire quelques « essais », mais seulement sur des animaux et je voulais t’en faire part:

Depuis quelques temps déjà, la brebis de mon voisin boite de la patte avant droite, j’ai donc pratiqué l’EFT pendant trois rondes. Sur le coup rien n’y a fait, mais le lendemain elle ne boitait presque plus, j’ai refait une ronde complète et une raccourcie avec « le reste de la boiterie de la patte avant droite de brebis », Et j’ai eu ma récompense, le lendemain, plus rien !

Mon chien avait les yeux qui pleuraient un peu, idem, EFT. Le lendemain, l’œil gauche ne pleurait plus, j’ai refait l’EFT sur l’œil droit, cette fois durant 4 jours de suite, maintenant c’est passé.

 J’ai un cheval qui a tendance à mordre, pas qu’il soit méchant mais parce qu’il veut s’amuser, il me tire les habits, mais parfois ça m’énerve, du coup hier, EFT !

A mon grand étonnement, il ne m’a plus mordu aujourd’hui, il m’a léché…

Je suis vraiment contente des résultats que j’arrive à obtenir, je n’en reviens pas, même si je sais que l’EFT est très efficace.

Ah oui ! encore une chose, lors de nos exercices, l’autre jour, quand on a travaillé les unes sur les autres, j’avais deux douleurs, une comme un pieu dans le bas du dos, et une vieille que j’avais depuis plus de 35 ans au niveau de l’omoplate, elles ont disparu toutes les deux. J’avais oublié de te le dire le dimanche.

Voilà c’est tout ! j’ai écrit un roman… 

Tu vois Johanne, bien que l’on sache que l’EFT est un outil formidable, je reste quand même étonnée et bluffée de ces résultats, ça dépasse l’entendement, avoue-le !

Je suis surtout étonnée que ce soit moi qui réussisse à obtenir ces résultats ! le tout est de se lancer, d’oser, avant je n’y croyais pas et je n’osais pas.

 Un grand merci à toi pour ton enseignement qui m’apporte beaucoup. 

Joelle

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Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
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Situation d’urgence… pas forcément anodine.

Viviane vient pour la première fois. Elle traverse une période difficile et a du mal à faire face. Un changement de dernière minute dans mon planning me permet de la recevoir dans la journée.

A l’heure où elle devrait arriver, mon téléphone sonne et Viviane me dit « Je suis dans le fossé », « en vrac ». Elle ne sait plus quoi faire.  Peut-être « appeler l’assurance »…

C’est juste à 300 m de ma maison, j’y vais immédiatement.

A mon arrivée, un camion s’est déjà arrêté, puis c’est une fourgonnette et un autre camion, équipé d’un treuil celui-là. Et en deux temps trois mouvements, voilà la voiture remise sur la route, bien posée sur ses quatre roues. Même pas une tôle froissée ! Nous apprécions toutes les deux cette entraide spontanée et souriante. Le temps de remercier, et nous filons nous asseoir dans mon cabinet.

Viviane est encore toute remuée, vous vous en doutez. Elle a « les bras qui tremblent » et « ça va jusqu’aux mains », comme toujours quand elle vit une forte émotion, elle a aussi « la tête agitée ». Tapoter sur ces manifestations est un jeu d’enfant, tous ceux qui connaissent l’EFT l’imaginent bien ! 2 rondes et il ne reste déjà presque plus rien. « Ca va vite ! » s’étonne Viviane. Quelle entrée en matière pour découvrir l’EFT !

Je lui demande de me raconter comment ça s’est passé. Elle a encore de la confusion, essaie d’expliquer… Les impressions qui émergent, encore vivantes et empreintes d’émotions sont « je ne sais pas où aller », « j’ai peur de me tromper » et « tout s’est arrêté ». Nous tapotons, à peine 1 ou 2 mn, et Viviane a soudain l’explication « Oh, je ne me souvenais pas ! j’ai reculé, pour faire demi-tour … je l’avais oublié ». L’EFT produit bien son effet, les faits se réorganisent naturellement dans son esprit, en douceur. Je lui demande de me raconter une nouvelle fois « cette histoire », manière de s’assurer qu’il ne reste pas une émotion enfouie, même toute petite. Viviane s’étonne encore de la rapidité de la tranquillité qui s’installe et elle peut en rire maintenant.

Nous rangeons ce dossier : « Affaire classée ».

La séance se poursuit avec les problèmes qui préoccupent Viviane et qui ont motivé le rendez-vous.

Serez-vous étonnés si je vous dis qu’elle vit une situation perturbante, avec beaucoup d’angoisses. Elle vient de rompre, mais n’est pas totalement sûre d’avoir fait le bon choix. Par ailleurs, sa situation financière la préoccupe beaucoup. Une histoire passée lui a valu d’être encore aujourd’hui « surendettée ». Or juste avant de partir, elle a reçu une facture ( EDF, gaz, électricité ?) dont la somme plus élevée que d’habitude l’a laissée avec un surcroît d’inquiétude, sans qu’elle ait eu le temps de faire ses comptes ; car l’heure tourne et elle ne veut pas se mettre en retard. Elle ne connaît pas bien l’itinéraire et a aussi de l’inquiétude à ce sujet. Au cours de notre entretien elle dira notamment « tout est bloqué », « rien n’avance ».

Mon propos ici n’est pas de détailler cette séance mais plutôt de souligner comment nous sommes impliqués dans tout ce que nous vivons, non pas comme victimes mais en tant que créateurs de notre histoire. Nous faisons pourtant du mieux que nous pouvons. Mais c’est comme un disque rayé, qui accroche toujours sur la même piste.

Les expressions qui expliquent et traduisent les inconforts face à une situation peuvent aussi bien s’appliquer à l’autre, les sensations éprouvées sont quasiment identiques. On le voit avec Viviane, chaque situation évoquée ici aboutit au « fossé », réel ou symbolique, ce blocage ressenti à chaque fois…

Alors si libérer les inconforts de l’une permettait d’ouvrir la trame énergétique qui nous retient prisonnier dans la répétition… C’est ce  blocage à l’intérieur de nous que nous visons avec  les pratiques énergétiques. Peu importe la porte d’entrée qui se présente, elle offre un lien avec la perturbation initiale de la circulation de l’énergie, source des déséquilibres que l’on observe dans notre vie, physique et également psychique. Tous les événements de notre vie nous y ramènent.

Les effets de la séance ont été immédiatement palpables dans le quotidien de Viviane, autant dans sa vie personnelle que professionnelle. Elle confirme avoir vécu « une renaissance », avec une capacité nouvelle à poser des « décisions d’aller de l’avant ». En évoquant cette séance, elle a eu cette réflexion amusée: « Je fais moins souvent mes comptes et ça ne va pas plus mal ! ».
Aussi, sept mois plus tard, n’a t-elle pas hésité face à une situation stressante qui se présente dans sa vie à venir aussitôt faire une séance.

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Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
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Travail à distance par une débutante en EFT.

Pratiquant le Reiki, Hélène a l’habitude du travail à distance. Aussi a-t-elle eu tout naturellement l’idée d’appliquer l’EFT dans ce contexte.


Lundi dernier une amie m’a appelée car cela faisait plusieurs semaines qu’elle était réveillée la nuit par le même cauchemar. Evidemment cela générait beaucoup d’angoisses et la fatigue commençait à s’installer.

Autre conséquence, elle appréhendait de plus en plus de conduire sa voiture car dans son cauchemar elle avait un accident avec sa voiture qu’elle ne maîtrisait plus.

Venant de découvrir l’EFT, j’ai pensé tout de suite que je pouvais l’utiliser à cette occasion. Je me suis souvenu que l’on peut tapoter sur soi pour quelqu’un et pratiquer l’EFT « par transfert »*

J’ai travaillé avec elle sur son angoisse (à 10 au départ ), lui disant que j’allais utiliser une méthode apprise au cours du WE précédent, sans lui expliquer quoi que ce soit d’autre. Je lui ai juste demandé de penser à moi pendant que je tapotais sur moi, utilisant ce qu’elle m’avait décrit, les endroits de son corps où elle sentait cette angoisse et comment c’était…

Quand je l’ai laissée, elle avait encore une toute petite gêne, mais elle se demandait surtout comment j’avais fait !!….

Comme il était tard, je lui ai simplement dit que je lui expliquerais tout ça le WE suivant puisque nous devions nous voir. 

En cours de semaine,  j’ai eu de ses nouvelles : elle ne se réveille plus la nuit et n’a plus d’angoisse en montant dans sa voiture.  Elle est ravie mais intriguée par ce que j’ai fait pour que l’amélioration soit aussi rapide.

Et moi, depuis, je l’utilise pour tout ……. on ne m’arrête plus !! Les douleurs dans les jambes de mon mari, les lunettes que je n’arrive pas à mettre depuis 3 ans (verres progressifs !), les enfants que j’ai en plongée et qui sont « intenables » (sic !), et c’est incroyable car ça marche !

Merci encore pour tout ce que tu m’as apporté !

Excellente semaine à toi.

Hélène
Bordeaux
06 83 97 73 47

Pour mieux comprendre ce qu’est  le travail par « transfert », vous pouvez voir l’application sur les animaux dans l’article « La tourterelle« 

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Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
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EFT et communication animale

Formée à l’EFT, Sandrine est également passionnée par la communication animale qu’elle pratique et enseigne. Elle nous propose ici d’apprécier les effets du mariage entre ces deux pratiques. 

Ce témoignage est issu d’une belle expérience vécue avec Otto. Mais, pour le raconter, il est nécessaire de remonter un peu dans le temps.

   Otto est un magnifique mulet gris de 6/7 ans (avec un regard à vous faire fondre…). Il était terrorisé dès qu’un humain tentait de s’approcher de lui. Nul ne sait ce qu’il avait vécu avant d’arriver au refuge pour chevaux maltraités où je l’ai vu pour la première fois. C’en était au point qu’il se collait contre les murs de son box dès qu’un humain y pénétrait. Et si l’humain tentait de l’approcher malgré tout, en panique totale, il se jetait contre les murs pour tenter de fuir. Il vivait ainsi depuis plusieurs années.

    Dans l’incompréhension totale, un des soigneurs l’avait même surnommé « petit con » tant il était inapprochable et ingérable. Pour un équidé, c’est plutôt gênant de ne pas pouvoir être manipulé, non seulement pour sa propre sécurité et celle des humains, mais aussi pour les divers soins. Il vivait donc tout seul dans son box car il avait aussi des soucis d’entente avec l’ensemble de ses congénères. Sachant que la nature profonde d’un équidé est de vivre en troupeau, non seulement pour sa survie et aussi pour son propre équilibre général. Ce n’était donc pas normal de vivre ainsi isolé.

    Il y a bien eu une tentative de le mettre au pré avec un copain, mais il a fugué. Il a fallu les pompiers et les gendarmes, à sa poursuite pendant une journée entière, pour pouvoir le récupérer en fin de journée, et après l’intervention d’un vétérinaire qui a dû lui administrer 4 doses de tranquillisants (en situation normale pour un tel gabarit, une dose suffit).

   Faut dire que je suis tombée amoureuse d’Otto dès notre première rencontre, dès le premier regard.
Cette situation ne pouvait plus durer, car je le sentais en grande souffrance. Aussi ai-je décidé de l’aider. Pratiquant la communication animale depuis 2007, j’ai utilisé celle-ci et me suis aussi servie de l’EFT (découverte et pratique de l’EFT en janvier 2012 et approfondissement en novembre 2012 avec Johanne), pour agir, entre autre, sur ses peurs. Et en tant que conseillère en Fleurs de Bach (agréée par le Centre Bach en Angleterre depuis 2011), j’ai aussi conseillé Roch Rose, pour sa terreur, et Vervain, pour son enthousiasme excessif, mais elles n’ont pas été données à Otto.

     Les séances ont été pratiquées, pour la plupart, à distance, autant pour l’EFT que pour la communication animale. Il y a toujours un humain curieux à proximité des box et Otto et moi avions besoin de tranquillité.

    Sur place, j’ai travaillé sur la présence discrète et bienveillante et l’approche tout en douceur (avec carottes dont il raffole…). Pour l’EFT, la communication animale m’a permis, entre autres, de confirmer et de savoir de manière exacte sur quelles phrases tapoter.

     Pour pratiquer l’EFT à distance, dans ce cas, après m’être connectée mentalement à Otto, j’ai tapoté sur moi. Les tapotements étaient basés sur « j’veux pas qu’on m’touche, j’suis terrifié », « j’ai eu très très peur », « j’ai plus confiance », « un reste de peur ». Cela est assez vite tombé à 0/10.

Il a fallu environ une quinzaine de jours pour avoir un résultat, en travaillant 1 ou 2 fois à distance en EFT et communication animale, et presque autant sur place. Durant cette période, petit à petit, il a commencé à accepter de venir prendre les carottes que je lui présentais.

   A ce jour, Otto est un mulet qui gambade joyeusement dans un pré avec des copains. Il ne s’enfuit plus et accueille bruyamment son soigneur préféré dès que celui-ci s’approche avec son seau journalier de grains. Et celui-ci n’en revient toujours pas de le voir ainsi transformé. Même s’il ne se laisse pas encore caresser sur le corps, il accepte de se laisser gratouiller le bout du nez ou/et de prendre la carotte ou la pomme qui lui est proposée. Quelle belle rencontre !


Sandrine

Association Nature et Sens

Pour le bien-être de l’humain et de l’animal
06 86 85 70 81

Pour d’autres témoignages sur l’EFT avec les animaux, consultez d’autres articles sur ce blog : https://johannedesterel.com/marie-helene-et-le-chien-qui-aboie/
ou https://johannedesterel.com/etonnee-et-bluffee/
et encore https://johannedesterel.com/la-tourterelle/

Sur la question de la communication avec l’animal, vous pouvez explorer avec intérêt le site de Laila Del Monte :  https://lailadelmonte.fr

Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources:
Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
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