Certains événements, vécus il y a parfois très longtemps, restent fichés en nous, dictant à notre insu nos réactions et comportements dans la vie présente. Ces « voleurs de bien-être », selon l’expression de Gary CRAIG, peuvent être facilement traités avec l’EFT. Ce que montre clairement le témoignage que Stéphane m’adresse.
Bonjour Johanne,
Quelques mois après notre dernier entretien, je me sens bien mieux et ça y est, ma vie est en mouvement (site internet commencé, voyage au Japon, plus de confiance en moi dans ma relation avec les autres…et notamment les femmes). Je me sens comblé, comme « rempli », et cela me permet d’envisager de nouveaux projets, de penser plus aux autres. Bref, l’impression d’être de nouveau aux commandes. Même si je fais pas mal d’erreurs, c’est vrai et c’est normal, j’ai moins peur de l’échec, donc je me lance. Je suis libre pour avancer !
Dans la continuité de mes visites, je lis et applique au mieux « les quatre accords toltèques ». Pour les cérébraux (mentalistes), ce livre propose un cap bien identifiable et nous aide à moins perdre d’énergie en nous éparpillant.
Je vous avais promis un petit mot sur notre expérience ensemble, le voici donc:
« J’ai vraiment été surpris lors d’une séance d’EFT avec Johanne. Contrarié d’avoir raté un examen de natation, je lui expliquai m’être aperçu qu’en fait, j’avais tout bonnement peur de mettre la tête sous l’eau. Comme si l’eau allait, avec toute sa pression, infiltrer mon nez et entrer dans mes poumons. Sensation mise depuis longtemps « au placard » car évitant la piscine par « désintérêt », disais-je.
Après avoir évoqué le fait que j’avais failli me noyer vers l’âge de 10 ans, nous avons revisité ensemble, grâce à l’EFT, ce moment pas forcément facile à se remettre en tête.
Pour faire simple, Johanne m’a proposé de retrouver ce qui me dérangeait en y repensant et pendant que je tapotais m’a fait revivre au ralenti toutes ces sensations qui avaient duré tout au plus quelques secondes à l’époque. Bras qui se lèvent pour demander de l’aide, corps lourd et chaud qui tombe au fond de l’eau…Depuis le moment où je vais entrer dans l’eau jusqu’à la noyade, j’ai tout intensément ressenti comme si le corps avait mémorisé tout ce que j’avais voulu oublier * : stress, tremblotements au ventre, dents qui claquent, panique, manque d’air, puis finalement abandon…
On est repassé sur ces moments autant de fois qu’il le fallait pour que je puisse en parler sans émotion « négative ».
Et j’ai pu retourner 3 semaines plus tard à la piscine, curieux de repasser le concours, non pas parce que j’étais meilleur, mais parce que je ne me sentais plus oppressé dans l’eau et que je me sentais capable de respirer. Merci »
Stéphane
* Il n’est pas nécessaire de revivre les événements douloureux pour s’en défaire. L’EFT permet une libération confortable.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
L’origine psychique de nos pathologies n’est plus à démontrer. La médecine a même un terme spécifique à cet égard : « psychosomatique », ce qui est souvent énoncé au patient par un « c’est nerveux » qui le laisse un peu désemparé ou vaguement coupable et impuissant.
L’EFT offre une alternative intéressante dans ce domaine, souvent étonnante par sa rapidité dans le cas de douleurs. Il est surprenant aussi de constater que la cause émotionnelle n’a pas toujours besoin d’être connue ou expliquée ni l’histoire racontée en détails pour que le soulagement intervienne, comme l’illustre la séance avec Jocelyne, décrite ci-dessous.
Jocelyne a une « douleur » dans le bas du dos. Elle évoque rapidement que ce problème remonte à il y a environ un an et demi. Avant c’était plutôt aux cervicales et « le dos s’est greffé dessus ». Dernièrement, au moment où elle a pris notre RV, l’inconfort était extrême dans le dos. Lors de notre séance, elle ne ressent pas particulièrement cette douleur dans le bas du dos, mais plutôt aux cervicales.
Elle a remarqué que depuis deux mois, moment où elle a entrepris un travail en sophrologie, elle a des douleurs qu’elle « ne connaissait pas ». « On dirait que quelque chose veut sortir », explique-t-elle. Et tandis qu’elle me parle, « ça monte ».
Chasser la douleur est une procédure de base en EFT. C’est par là que nous commençons. Je lui propose donc d’entrer en contact avec ce qu’elle sent.
Elle trouve « une raideur », plutôt à droite sur le côté du cou. En explorant la sensation, c’est l’image d’un « gros tuyau rigide, gris clair » qui se présente. Inconfort évalué à 7/10. Nous tapotons simplement avec ces mots, une ronde abrégée. L’inconfort a disparu, il ne reste rien à droite, « tout est souple » !
En revanche la sensation est désagréable à gauche, avec « un léger blocage, comme un fil qui se tord, un peu rigide, mais pas du fer… » (Jocelyne accompagne l’expression d’un geste évocateur en forme de tortillon qui monte vers l’oreille), « comme un serpent », ajoute-t-elle. L’inconfort est à 5-6.
Après une première ronde, la sensation a cessé en hauteur, mais « une plaque rigide bloque l’épaule gauche », évaluation à 4. Au cours de la ronde qui suit, le regard de Jocelyne semble loin. Interrogée sur ce qui se passe en elle, elle dit qu’elle est « comme absente», que c’est « comme si elle n’était pas là ».
Un bref échange entre nous lui permet de dire que c’est très curieux, elle ne connaît pas cet état. Habituellement, elle « contrôle » …
Elle ne sait pas dire davantage si c’est confortable ou inconfortable, c’est juste bizarre. Elle ne sait pas quoi en penser. Alors nous tapotons sur cette « pratique bizarre » avec les aspects que son esprit aborde sans oser, comme « pas sérieux », « qu’est-ce que c’est ce truc ? », « comme si une partie de moi était ailleurs », « je ne sais pas si je peux y croire », « je me sens bizarre »…
Pas le temps d’aller plus avant, une douleur est apparue en bas du dos, tout d’un coup, une douleur très nette, plus dure à gauche, « une grosse boule de fer, pleine, lourde, gris foncé ». Elle évalue la douleur à 8 et nous tapotons tout de suite sur cette manifestation.
Au cours de la deuxième ronde, des sanglots secouent Jocelyne, elle ne sait pas pourquoi elle pleure. Alors nous poursuivons avec :
« Même si je ne sais pas pourquoi je pleure, je m’accepte totalement et profondément » « Même si je ne peux pas m’empêcher de pleurer, je m’accepte avec ce que je sens » « Même si je ne contrôle plus rien, je m’accepte telle que je suis »
La ronde qui suit achève le processus de libération.
Jocelyne se sent comme « vidée » mais ce ressenti est agréable, « après toutes ces années à tout porter ! ». Elle souffle comme après une course et note un tremblement dans les jambes, les cuisses, le relâchement de son corps.
Quelques tapotements autour de tout ce qui en elle semble « chamboulé » l’aide à accueillir l’émotion qu’elle ressent maintenant, une émotion « pas désagréable », qui tient plus du côté émouvant à se découvrir vivante.
Il n’a pas été nécessaire d’évoquer des événements ou des situations problématiques, ni de lui demander ce qui se passait ou s’était passé un an et demi plus tôt lorsque les douleurs ont commencé. Les connexions se sont complétées toutes seules, dans les coulisses de son monde intérieur.
Dix jours plus tard, la douleur n’est toujours pas revenue. « Plus rien », annonce Jocelyne qui ne cesse de s’étonner. Elle a beau la chercher le matin en se levant, elle est vraiment partie !
Rencontrée quelques mois plus tard, Jocelyne confirme la disparition de cette douleur. Unsoulagement « INCROYABLE », insiste-t-elle.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
« J’ai connu l’EFT en cherchant un énième régime amaigrissant sur internet et j’ai découvert l’EFT. Étant très attirée par toutes « ces méthodes » naturelles de santé, l’EFT m’a interpellée de suite. Bien sûr pour ma préoccupation de poids, j’ai vite compris que c’était trop complexe pour moi, donc j’ai rencontré Johanne en séances chez elle. J’ai ri, pleuré (beaucoup), mais l’EFT m’a « libérée » sur bien des points. Johanne m’a aidée à démêler toutes sortes de rancœurs liées à ma maman et pour cela, Johanne avait compris avant moi. C’est vrai que travailler en EFT avec une photo sous les yeux, où maman et moi avons l’air si proches, a fait tomber chez moi bien des barrières que je m’étais moi-même installées. D’ailleurs pour la petite histoire, cette photo est restée depuis ce temps dans mon portefeuille alors qu’avant, elle était dans un album. L’EFT m’a enlevé des angoisses, m’a aidée à comprendre les choses et au final, a fini par m’accorder ce que je cherchais depuis le début : la fonte de mes kgs ! Oh bien sûr, on n’en a pas fini, mais je sais que l’EFT m’aidera jusqu’au bout à faire en sorte de perdre vraiment ce poids définitivement, voilà. J’espère que ce résumé vous permettra de comprendre réellement ce que l’EFT m’a apporté.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
Brigitte a 38 ans. Elle a arrêté de fumer depuis 2 mois ½, mais se dit « invivable ». « J’ai perdu tous mes repères ».
Pour me donner une idée, elle précise qu’elle « passe du coq à l’âne » très souvent et qu’elle est « infecte ».
Je la questionne sur sa relation avec la cigarette.
Elle a commencé à fumer à l’âge de 11 ans ½ ; elle a déjà arrêté sans problèmes pendant ses grossesses. Cela ne lui a coûté aucun effort, elle précise pourtant aussitôt qu’elle était « infecte » aussi. Cependant elle n’en éprouvait aucune gêne. Après tout, c’était pour la bonne cause…
Je lui suggère de me dire comment elle le sent aujourd’hui, en quoi c’est différent et de me répondre tout en tapotant. Elle prend l’exemple de son comportement avec son mari, si par exemple il fait tomber un verre. A cette seule évocation, elle est tout de suite en contact avec une agitation qu’elle montre dans ses mimiques corporelles et conclut : « Je suis infecte ».
Nous poursuivons la ronde avec « infecte », et je lui propose de considérer que ce mot ne la définit que dans ces instants-là et qu’elle « n’est » peut-être pas « infecte » en permanence, qu’elle entre dans cet « état » comme dans un costume de scène, un rôle pour ces moments-là.
— Notons ensemble que vous n’aimez pas ce personnage, et nous allons nous en occuper, mais avant, dites-moi alors, quand vous n’êtes pas « infecte », comment êtes-vous ? — « Tranquille. C’est quand je suis toute seule. J’ai le cerveau reposé »
Une excursion rapide dans son histoire à 11ans ½ fait surgir une fillette «timide », « mal dans sa peau », « pas à l’aise ». « Je n’avais pas grandi par rapport aux autres filles, j’étais décalée, invisible aux yeux des autres. »
Progressivement, nous zoomons vers la 1ère cigarette . Brigitte était en 6ème, c’était avant que ses parents ne la changent d’établissement pour la mettre dans un collège privé, « avec raison » précise-t-elle. Un jour, une copine (ah, tiens ! il y en avait quand même une …) l’a invitée chez sa grand-mère. C’était à l’étage. Elle se souvient même du paquet de cigarettes et de la marque, « des Dunhill rouge » ! Un paquet brillant, il est là, devant elle ! Nous faisons tout de suite une série de tapotements sur ce nom évocateur et je lui demande de rester dans le ressenti de ce moment, d’en retrouver le goût, l’empreinte, exactement comme si elle était encore devant le paquet.
Ce n’est pas du tout difficile pour elle ; la partie d’elle-même qui a vécu ce moment est bien présente, avec un « ressenti agréable » mêlé d’interdit. Au cours des tapotements qui accompagnent l’évocation, les sensations se précisent : « Je me sens grande, je me sens plus forte ».
Comme pour l’approche du film, lorsqu’une image du passé est inscrite aussi fortement en nous, lui donner un titre permet de travailler plus facilement avec. Pas besoin d’analyser. Et pour Brigitte, ce moment de sa vie, c’est « La classe ! ». (Et j’aimerais que vous l’entendiez prononcer ce mot, en appuyant sur le « klâ »). Elle évalue le plaisir qu’elle ressent à 8/10.
Pour ceux qui s’étonneraient qu’on évalue le plaisir et non l’inconfort ou un dérangement quelconque, je précise que, ici, il s’agit de se détacher de l’objet-plaisir qui l’assujettit, la mémoire de substitution. Le « plaisir » qu’elle associe à la cigarette est justement le problème. Le souvenir qui a conditionné l’inscription fait obstacle à la tranquillité.
En évoquant cette minute, nous tapotons sur le ressenti agréable « grande », « plus forte »… sur les différents aspects du « plaisir » auxquels les sens s’associent, jusqu’à l’odorat, la gestuelle, la saveur d’ « interdit »…
Je lui demande de me décrire une nouvelle fois la scène et de retrouver tout ce qui reste encore comme sensations. Elle est surprise de sentir maintenant « ce rouge qui serre, avec une envie de vomir ». Une ronde rapide dissipe cet inconfort.
— « La classe ! », Comment ressentez-vous cette scène, maintenant ? — « J’essaie d’entrer là-dedans… », « c’est flou », « je ne m’aime pas », « j’ai une peur de repères ».
Sans poser davantage de questions, nous tapotons particulièrement sur cette expression (quelle qu’en soit la signification, elle peut se lire en écho à sa remarque du début de séance, associée à son mal être). Au cours de la ronde, je lui propose même d’alterner : « cette peur de repères » avec « j’ai perdu (tous) mes repères ».
Brigitte a maintenant « l’impression de planer », plutôt agréable, et sent son « cerveau calme ».
Nous terminons la séance avec une affirmation-choix. « Même si j’ai un petit reste de cigarette plaisir, je choisis maintenant le cerveau calme. »
Deux mois plus tard, au cours d’un échange, Brigitte me parle des améliorations ressenties depuis notre séance, elle se sent plus apaisée, avec « un poids en moins ». Elle n’a plus envie de fumer. Reste encore cependant un besoin de s’occuper, le matin particulièrement, un surcroît d’activité ou d’agitation… Une nouvelle séance est envisagée.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
Depuis toutes ces années où j’utilise l’EFT, je n’en ai jamais fini de m’émerveiller sur tout ce que je vois se produire. Cela peut même sembler « magique » lorsque cela concerne un animal. Pour moi, c’est surtout une nouvelle preuve de l’interrelation entre toutes les formes de vie et l’occasion d’un nouveau regard sur les possibilités infinies dont nous sommes nanties.
L’EFT pour un animal :
J’aperçois sur mon parking une masse ébouriffée, une tourterelle presque inerte. Je m’approche doucement pour ne pas l’affoler et je vois que ses paupières closes n’ont même pas la force de s’ouvrir. Je distingue une grosse tique sur un côté de sa tête et des saletés qui se sont amassées autour de son bec.
Précautionneusement, je l’attrape pour ôter la tique. Elle peut à peine remuer, même pas se défendre. J’en profite pour regarder si elle n’est pas blessée puis je nettoie son bec en le trempant dans un peu d’eau additionnée de 2 gouttes d’extrait de pépin de pamplemousse. Elle réagit si peu que sur l’instant je ne donne pas cher de son devenir.
Dans les minutes qui suivent arrive ma première cliente de l’après-midi. La séance terminée, je la raccompagne. La tourterelle n’a pas bougé de place ; elle semble encore plus affaissée, presque chancelante. Ma cliente me dit : « Ouhwouff… là… je crois queeee… » et nous pensons qu’il n’y a pas grand chose à faire.
Après son départ, je regarde une nouvelle fois cette tourterelle, qui semble jeune encore. Son chemin s’est arrêté là, je ne peux rien empêcher… et soudain je me souviens que j’ai « un petit truc » qui s’appelle EFT, qui marche aussi avec les animaux. S’il y a une chance de l’aider, saisissons-là. Je n’attends rien de particulier, je vais juste tapoter sur moi en me connectant à elle.
Je suis à 3 mètres en arrière et un peu décalée sur le côté. «Même si cette tourterelle est mal en point, c’est un bon oiseau. » « Elle est mal en point / à bout de forces… » Non, je n’ai pas rêvé, elle a réagi ! Son cou tressaute un peu à chaque fois que je change de point, comme pour se soulever. Pourtant je ne fais pas de bruit, je murmure à peine. Quand nous parlions tout à l’heure avec ma cliente, elle n’avait aucune réaction, elle restait prostrée…
Je poursuis la ronde en égrenant son malaise, que j’imagine : « Elle est tellement mal/ elle n’en peut plus/ elle est mal en point… ». A chaque changement de point, sa tête émerge un peu plus nettement et autant qu’elle peut tente de se tourner dans ma direction. C’est à peine croyable ! Si vite !
La première ronde achevée, je continue en disant « je », comme si j’étais elle. «Même si je me sens mal encore, je suis une bonne tourterelle . » « Je me sens mal encore / épuisée / j’ai encore du mal à bouger … », j’imagine juste dans quel état elle peut se sentir. Progressivement, la paupière de mon côté s’entrouvre, cligne plusieurs fois. Et tandis que je poursuis, la voilà qui tente d’écarter un peu une aile, maladroitement encore; elle entreprend de se nettoyer dessous, dessus… par petits coups de bec espacés, d’un côté, de l’autre. Elle est encore faible, s’arrête, récupère un peu, reprend… pendant que j’enchaîne une nouvelle ronde.
Elle semble moins groggy, même si elle n’est pas encore bien gaillarde. J’effectue une nouvelle séquence avec « encoreun reste de fatigue ». Je la vois alors se soulever un peu, essayer de se déplacer sur ses pattes, tituber, bouger encore, trouver un nouvel équilibre au sol…
Je ne peux que constater la rapidité avec laquelle elle retrouve de l’énergie. Je me surprends à sourire en la regardant. Je ne doute pas qu’elle va retrouver la force de voler.
Le téléphone m’appelle à l’intérieur. Lorsque je reviens dans le quart d’heure qui suit, elle n’est plus là !
Sans doute est-ce dans ces moments où nous lâchons nos croyances au sujet de ce qui peut s’accomplir que tout peut se passer.
Et pour ceux et celles qui se demanderaient encore comment c’est possible, je rappellerai brièvement que toutes les formes de vie s’exercent dans un champ électromagnétique et que les animaux, comme les plantes, sont dotés d’un système énergétique qui peut être perturbé, tout comme le nôtre. La connexion entre deux systèmes énergétiques permet une action par « substitution» ; par le truchement des tapotements sur mon système, une action indirecte est possible sur un autre système énergétique qui appelle à recevoir… dans le sens qui lui convient et selon ses besoins. Car il reste essentiel de garder le plus grand respect de ce qui s’accomplit et qui ne nous appartient pas.
Mais le mieux est sans doute d’essayer et de simplement constater, au-delà de tous préjugés.
Pour approfondir la communication avec les animaux, visitez le site de Laila DEl MONTE, pionnière dans ce domaine.
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