Mandarine au chocolat

L’étude de cas qui suit m’est adressée par Martha RYCKWAERT, praticienne EFT.

Mademoiselle Mandarine, souhaite travailler sur ses problèmes de poids et  de comportement alimentaire compulsif.

Elle est suivie par une société connue pour ses accompagnements dans l’amincissement. Cet accompagnement l’agace ; d’ailleurs, elle ne se rend pas à tous les rendez-vous et quand elle y va, c’est généralement avec beaucoup de colère.

« Prendre soin de moi m’est impossible » me dit-elle. « L’hygiène alimentaire me paraît austère. Je préfère m’empoisonner à manger n’importe quoi. Et de toutes façons tout ce qui fait du bien à mon corps et qui doit passer par la voie orale, je n’y arrive pas… ». Et c’est dit de façon  catégorique sur un ton très vif !

En remontant la piste pour trouver un évènement spécifique dans la vie de Mandarine, qui illustrerait qu’il ne lui est pas possible « d’ingérer » (pour reprendre son vocabulaire) quelque chose pour faire  du bien au corps, nous arrivons à un épisode de son enfance : elle est assise sur le canapé familial, elle est malade, elle a 40 ° de fièvre. Sa mère n’arrive pas à lui faire prendre la gélule d’antibiotique. Son père, vraisemblablement très anxieux que sa fille refuse de se soigner, crie, se met en colère, lui démontre en démontant la gélule pour n’absorber que l’enveloppe de ce médicament, que « c’est facile ».  Et elle n’y arrive pas. ! Malgré les arguments raisonnables : « Tu dois te soigner ». Evoquer cette scène qui remonte à plusieurs dizaines d’années est encore très émotionnel pour Mandarine qui est en larmes. Elle a peur, elle est  très en colère contre son père qui pratique « un abus de pouvoir… a trop d’emprise sur les gens, perd le contrôle »… Nous avons tapoté sur tous les ressentis de cette scène.

La tension émotionnelle a fortement baissé, mais Mandarine, fatiguée, préfère que nous arrêtions là pour aujourd’hui.

2ème séance une semaine plus tard.

—    « Avez-vous remarqué des changements de quelque ordre que ce soit depuis notre dernière séance ? »

—    « Aucun », me répond Mademoiselle Mandarine. Et c’est dit sur un ton aussi vif qu’au début de notre première séance.

—    « Donc, vous mangez de la même façon, des gâteaux pendant votre journée de travail, du chocolat en quantité… »

—    « …En fait, si, quelque chose a changé : j’ai plus conscience de la valeur de ce que je mange. Certes, hier soir, j’ai mangé une plaque de chocolat, mais je suis consciente de ce que ça représente. Alors que, précédemment, je mangeais de façon compulsive, sans  même me rendre compte ».

Je lui demande de me raconter de nouveau la scène d’enfance, où, malade sur le canapé, elle affrontait la colère de son père qui essayait de lui faire avaler une gélule de médicament « pour son bien ». Elle me raconte la scène, et, « Tiens, c’est tout à fait neutre », me dit-elle.

Nous poursuivons notre travail de détective pour essayer de comprendre à quand remontent les premiers comportements alimentaires anarchiques.

Elle me dit avoir toujours eu un « bon appétit », mais entre 19 et 20 ans, elle a des crises de boulimie et « se fait vomir ». A ce moment-là, dans sa vie, elle a un amant (marié) dont elle est très amoureuse. « C’était l’amour de ma vie, je voulais l’épouser ». Au bout d’un an et demi de relation passionnée, il lui annonce qu’il quitte sa femme… mais c’est pour aller vivre avec une autre !  Tous ses espoirs et ses rêves sont anéantis. Elle en parle sans émotion, me disant qu’au fond cela avait été une bonne chose.

Parallèlement, elle me parle de sa vie affective actuelle ; en couple avec  Albert depuis quelques années, elle s’est inscrite néanmoins sur un site internet de rencontres. Elle ne remet pas en question « son » Albert qui lui apporte de la sécurité, bien qu’elle ressente un manque affectif…

« Quand je vais sur ce site, je me demande ce que je vais y chercher ; ça me met mal à l’aise. Je ne sais pas si c’est de la culpabilité, mais ça me gêne, j’ai l’impression que je le trahis. Oui, c’est ça, c’est de la trahison ! Et d’ailleurs, tout ça me rappelle une dispute avec mon père ».  Des larmes de nouveau. « Quand j’étais adolescente, j’avais répondu à une publicité qui proposait des cours de peinture. Je voulais simplement avoir des renseignements. Je n’ai pas reçu les infos par la Poste, mais par un démarcheur qui a débarqué un samedi matin à la maison. Là, mon père l’a reçu agréablement, a écouté avec beaucoup de courtoisie sa présentation, et a dit : « D’accord ». J’inscris ma fille à ce cours. »

Grosse émotion, Mandarine est en pleurs : « Et moi, j’y ai cru ! j’ai cru qu’il allait me payer mes cours de peinture, qu’il était d’accord. Mais dès que le démarcheur a passé la porte, mon père s’est mis dans une colère terrible, m’a engueulée en disant qu’il n’en était pas question, que c’était toujours pareil, que je faisais n’importe quoi sans réfléchir aux conséquences… »

Nous utilisons la technique du film. Je demande à Mandarine quel titre elle donnerait à la scène la plus douloureuse de cette situation si c’était un film. Elle choisit « Renversement ». De très gentil qu’il avait été avec le démarcheur, le père était  devenu très en colère. Le titre de « renversement » est douloureux à 8/10. Elle est en larmes. Nous tapotons « renversement ». Après 2 rondes  de tapotements, elle a une douleur à la tête, une gêne respiratoire dans la gorge que nous tapotons. Après la ronde de tapotements sur les symptômes manifestés par son corps, les sensations physiques désagréables se sont évanouies. Mais le titre « renversement » est encore douloureux à 7/10.  Elle est très en colère contre son père « qui m’a culpabilisée », me dit-elle. Puis, c’est de la colère contre elle, parce qu’elle avait le droit d’avoir envie de faire de la peinture. Quand nous rafraîchissons ses ressentis, le titre « Renversement » n’est plus douloureux, mais il reste cependant un inconfort.

— « Y aurait-il un autre titre que vous pourriez donner maintenant à la scène la plus douloureuse ? »

— « C’est lui qui a déconné ! ».

Voilà donc le nouveau titre que nous tapotons « C’est lui qui a déconné », et au fur et à mesure, elle rit et en riant me dit « Qu’est-ce que ça me fait du bien, parce que c’est ça, il a déconné ! ».

Fin de la ronde de tapotements. Je lui demande de me raconter de nouveau la scène entière.

Elle me raconte la scène tout à fait différemment : « En fait, je suis même pas sûre qu’il se soit mis en colère. Je me souviens qu’il a demandé à Maman de résilier les cours de peinture et que j’étais soulagée. Eh oui, j’étais soulagée. Parce qu’au fond, c’était drôlement trop cher, ces cours ! ».

Et là, Mandarine se sent très légère et n’en revient pas de voir la scène si différente ; elle en vient même à douter des souvenirs qu’elle en avait et qui étaient restés tellement douloureux. Elle est très étonnée de l’angle de vue complètement différent qu’elle a désormais sur cet évènement, au point qu’elle change tout à fait la façon de raconter l’histoire (en quelque sorte un recadrage spontané).

Mandarine est une artiste très créative aujourd’hui, pourtant,  elle avait gardé la mémoire d’avoir été brisée dans son élan, et de n’avoir pas été respectée dans ses désirs. D’ailleurs, ce non-respect de ses désirs, elle l’avait reproché à son père et nous l’avions largement tapoté dans la scène des cours de peinture…faisant même quelques « ponts » avec « peut-être » une forme de non-respect de son corps dans son comportement alimentaire.

 Je sors un paquet de gâteaux pour lui en proposer. C’est le sucré et le chocolat qui la font craquer déjà depuis un certain temps . «Non, me dit-elle, ça ne me dit rien ».

— « Et si je vous proposais du chocolat au lait au praliné ? » (son préféré !)

— « J’en prendrais un carré, juste pour le plaisir ».

Elle part libérée, étonnement légère.

Je propose  à Mandarine un rendez-vous de bilan dans 15 jours, libre à elle de l’annuler quelques jours avant la date fixée si elle sent que ce nouveau rendez-vous est devenu sans objet.

Note de Martha : Ce qui touche à la nourriture est connecté à des mémoires biologiques archaïques inconscientes de survie. Je ne suis donc pas certaine que 2 séances auront suffi. Toutefois, les résultats de l’EFT sont  rapides et profonds. D’autant que nous avons pu repérer très vite deux souvenirs très précis qui avaient pu engrammer chez Mandarine une répulsion à prendre soin de son corps et une mémoire de non-respect de ses désirs. 


Martha RYCKWAERT

Praticienne et artiste EFT à AGEN
mryckwaert@orange.fr
06 89 45 12 18

Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources:
Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
courriel :
 
jod470@orange.fr,  site : https://johannedesterel.com

L’histoire de Marika

Martha RYCKWAERT, praticienne EFT à AGEN, me communique ce témoignage d’une de ses clientes, montrant une fois de plus la facilité avec laquelle les outils énergétiques concourent à notre liberté émotionnelle.  La vie peut alors reprendre, dans son écoulement fluide.

« Ayant déjà pratiqué l’EFT, j’ai décidé de faire une séance pour résoudre un problème intime qui est survenu après l’accouchement de mon fils Téo. Mon mari et moi, nous nous aimons d’une force inestimable, profondément, intensément, tellement fort qu’il n’y a aucun adjectif pour le qualifier. A la fin de l’accouchement, lorsque le gynécologue a voulu vérifier qu’il ne restait plus de placenta, il a été très violent dans son geste qui m’a profondément choquée ; ensuite, les rapports intimes avec mon mari se sont nettement espacés. En effet, après cet accouchement qui a eu lieu il y a 8 ans, je me sentais souillée, violée, je n’avais qu’une envie : pleurer.

Depuis cet épisode, j’avais du mal à avoir des rapports intimes avec mon mari qui s’est trouvé très patient. 7 ans après Téo, j’ai eu un second fils pour lequel l’accouchement s’est bien passé. Mais le traumatisme de l’accouchement précédent était bien là et prenait une trop grande place dans ma vie. J’ai donc pratiqué une séance d’EFT ; j’avais déjà eu l’occasion de pratiquer des séances auparavant pour d’autres problèmes. Lors de ma séance, au fur et à mesure des tapotements accompagnés de phrases très justes, les sentiments de tristesse se sont déchaînés, je revoyais tout. J’ai ressenti du dégoût et je me suis livrée. Au cours de la séance, j’ai senti que mes sentiments évoluaient positivement, ils devenaient joyeux. J’ai éprouvé du bien-être, du soulagement, j’en souriais. C’était Bien. Je suis partie de ma séance toute guillerette avec de belles idées en tête !

J’ai senti une amélioration concrète au bout de cinq semaines. Mon mari et moi nous nous sommes retrouvés intimement, et progressivement nous retrouvons notre complicité des 1ers jours de notre rencontre. »

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Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
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jod470@orange.fr,  site : https://johannedesterel.com

Gary Craig

Gary Craig, le fondateur

Ingénieur de l’Université de Stanford, passionné depuis l’âge de 13 ans par le développement personnel, Maître praticien en PNL, Gary Graig a suivi les enseignements de Roger Callahan  (la Thérapie par les Champs de Pensées) et développé dès 1991 l’Emotional Freedom Techniques (EFT), un procédé avec des approches simples, rapides et efficaces à la portée de tous pour reprendre sa vie en mains et atteindre « la Paix Personnelle ».

Ses enseignements, offerts gratuitement au monde par internet en 1995 (livre traduit en français, gratuitement aussi, par Louise Gervais pour sa première version) ont séduit de nombreux médecins, psychiatres, thérapeutes de toutes sortes partout dans le monde. Il est possible aussi d’accéder à ses nombreuses vidéos illustrant ses enseignements en allant sur son site (cliquer ICI)

En 2013, pour que sa méthode soit bien comprise et ne se réduise pas aux variations ni ne se perde dans des déformations apparues au fil des années, il en clarifie les principes clés (pour les parties I et II) dans « Le tutoriel de l’EFT officiel ». Son ouvrage est disponible aux éditions du Souffle d’or. 

Aujourd’hui, avec sa nouvelle proposition « Penser hors de la boîte » (Thinking outside the box), il insuffle une dimension spirituelle dans l’EFT: l’EFT Optimal. 
Son introduction à « Une nouvelle psychologie » expose sa vision globale de l’EFT.

Un outil de croissance personnelle

De la libération émotionnelle…

L’EFT associe la stimulation des méridiens d’énergie à l’évocation des émotions difficiles ou souffrances que nous vivons, pour permettre leur évacuation.

Le succès de la psychologie énergétique ne repose pas sur les explications, encore moins sur l’analyse de notre histoire. C’est toute l’innovation de cette approche originale.

Le principe de base est simple : « La cause de toute émotion négative est une perturbation de notre système énergétique corporel », un blocage sur un des circuits énergétiques (méridiens) enregistré dans notre corps.

Correctement appliqué, l’EFT réaligne nos circuits d’énergie et déconnecte nos malaises physiques et émotionnels.

Il suffit de tapoter (avec les doigts) des points spécifiques pour libérer la charge émotionnelle associée aux événements en écho à la difficulté, et la transformation s’opère : la perturbation (le blocage) disparaît avec le problème !

La recette de base en elle-même est très simple. Même les enfants peuvent l’utiliser : l’énoncé de la difficulté, quelques tapotements sur une série de points et la libération s’accomplit, le problème se dissout. 

L’aide d’un praticien expérimenté reste souhaitable dans des cas complexes, cependant l’EFT est un outil conçu pour que chacun puisse l’utiliser seul, dans des cas d’urgence ou pour résoudre les situations douloureuses de sa vie. 

Tout en visant à démêler l’écheveau émotionnel, le praticien EFT donne au client les moyens de se prendre en charge. Il lui offre un chemin vers l’autonomie.

… à l’émergence du Soi

Au fur et à mesure que nos émotions s’évacuent, nous découvrons un espace encore inexploré : notre liberté d’être.

Nous constatons rapidement que nous avons acquis bien plus qu’un apaisement, mais le plaisir d’être exactement ce que nous sommes, de le goûter pleinement.

L’EFT nous permet alors d’accompagner les changements et d’explorer nos autres talents et capacités, tous nos autres possibles, ce que Gary Craig appelle « Le palace des possibilités » 

En cela, l’EFT est un outil de croissance personnelle, un tremplin vers l’éveil.

Corinne: « J’ai découvert un trésor »

Témoignage suite à une séance individuelle :

Cette séance est vraiment libératrice, sensation d’avoir découvert « un trésor » en fouillant dans la boue d’un passé lourd.

Ce trésor s’appelle « liberté ».

Johanne, tu as a su saisir chaque « particule » pour désagréger « l’atome » : enfermement, peur, souffrance, limitation…

Merci du fond du coeur.

Corinne

Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources:
Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight.
courriel :
 
jod470@orange.fr,  site : https://johannedesterel.com

EFT – Qu’est-ce que c’est ?

  • L’EFT, (Emotional Freedom Techniques), Techniques de Liberté des Emotions, est une forme d’acupuncture émotionnelle. Mis au point par Gary CRAIG en 1996, l’EFT fait partie des thérapies méridiennes ou thérapies énergétiques, souvent proposée comme outil en psychologie énergétique.
  • L’EFT pose comme principe de base que « La cause de toute émotion négative est une perturbation dans notre système énergétique corporel ». C’est donc avec le corps qu’on va interagir pour évacuer le dérangement émotionnel connecté à toute une série d’activités chimiques, hormonales, neurologiques en rapport avec le champ de pensée à l’origine de la perturbation. La stimulation des circuits énergétiques (par des tapotements sur les méridiens) permet de rétablir la circulation harmonieuse de l’énergie en libérant l’émotion ou sensation négative.
  •  L’EFT peut aussi soulager un grand nombre de symptômes physiques. En effet, les événements non résolus de notre passé ont été enregistrés dans notre corps, et ces mémoires émotionnelles se manifestent dans notre présent sous forme de douleurs, phobies, difficultés respiratoires, allergies, tensions…

Les champs d’application

L’application de l’EFT a montré des améliorations durables, tout aussi indéniables qu’incroyables, dans une large variété de sujets : 

Peur – anxiété – phobies – colère – stress – chagrin – pertes – deuils – sentiment d’impuissance – échecs – difficultés d’apprentissage – manque de confiance – culpabilité – recherche de performances personnelles – dépendances – bouleversements et changements de vie – traumatismes – dépression…
jusqu’aux malaises physiques : arthrose – douleurs – allergies et diverses maladies qui bénéficient largement de l’apport de l’EFT.

« Essayez-le sur tout », nous dit Gary CRAIG.

Comment ça marche ?

La série de points à tapoter est définie et proposée dans un ordre facile à mémoriser:

Pour la ronde de base : le sommet de la tête, le début du sourcil, le coin de l’œil, sous l’œil, sous le nez, sous la bouche, au début de la clavicule, sous le bras,
Pour les points additionnels : sous le sein, au coin externe de l’ongle du pouce, de l’index, du majeur et de l’auriculaire 

Une auto-évaluation de l’intensité du problème (sur une échelle de 0 à 10), pratiquée avant et après la série de tapotements permet de mettre en évidence les améliorations.

Avant de tapoter les différents points, on veut s’assurer la meilleure coopération de l’inconscient. On reconnaît le problème et l’on déclare s’accepter malgré le problème. On tapote alors un point sur le tranchant de la main, en affirmant par exemple : « Même si j’ai cette colère d’avoir raté le train, je m’aime et je m’accepte infiniment ». C’est la phrase de préparation. Chaque point est tapoté 5 à 6 fois pendant qu’on exprime le ressenti du problème. Par exemple : « J’ai de la colère d’avoir raté le train ». On peut condenser le problème sur le mot ou l’expression la plus émotionnelle : « J’ai raté le train » ou « cette colère ». C’est la phrase de rappel. (voir la fiche explicative)

Cependant loin d’être une pratique répétitive, l’EFT sollicite notre intuition, notre créativité. C’est dans la manière de procéder qu’on peut parler de l’Art de l’EFT. Sa pratique n’a rien de figé ni de mécanique et sa maîtrise relève d’un savoir-faire qui s’acquiert avec l’expérience. Une formation en EFT est à la portée de tous et permet d’acquérir les meilleurs réflexes pour une utilisation optimale.