« J’ai connu l’EFT en cherchant un énième régime amaigrissant sur internet et j’ai découvert l’EFT. Étant très attirée par toutes « ces méthodes » naturelles de santé, l’EFT m’a interpellée de suite. Bien sûr pour ma préoccupation de poids, j’ai vite compris que c’était trop complexe pour moi, donc j’ai rencontré Johanne en séances chez elle. J’ai ri, pleuré (beaucoup), mais l’EFT m’a « libérée » sur bien des points. Johanne m’a aidée à démêler toutes sortes de rancœurs liées à ma maman et pour cela, Johanne avait compris avant moi. C’est vrai que travailler en EFT avec une photo sous les yeux, où maman et moi avons l’air si proches, a fait tomber chez moi bien des barrières que je m’étais moi-même installées. D’ailleurs pour la petite histoire, cette photo est restée depuis ce temps dans mon portefeuille alors qu’avant, elle était dans un album. L’EFT m’a enlevé des angoisses, m’a aidée à comprendre les choses et au final, a fini par m’accorder ce que je cherchais depuis le début : la fonte de mes kgs ! Oh bien sûr, on n’en a pas fini, mais je sais que l’EFT m’aidera jusqu’au bout à faire en sorte de perdre vraiment ce poids définitivement, voilà. J’espère que ce résumé vous permettra de comprendre réellement ce que l’EFT m’a apporté.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
Brigitte a 38 ans. Elle a arrêté de fumer depuis 2 mois ½, mais se dit « invivable ». « J’ai perdu tous mes repères ».
Pour me donner une idée, elle précise qu’elle « passe du coq à l’âne » très souvent et qu’elle est « infecte ».
Je la questionne sur sa relation avec la cigarette.
Elle a commencé à fumer à l’âge de 11 ans ½ ; elle a déjà arrêté sans problèmes pendant ses grossesses. Cela ne lui a coûté aucun effort, elle précise pourtant aussitôt qu’elle était « infecte » aussi. Cependant elle n’en éprouvait aucune gêne. Après tout, c’était pour la bonne cause…
Je lui suggère de me dire comment elle le sent aujourd’hui, en quoi c’est différent et de me répondre tout en tapotant. Elle prend l’exemple de son comportement avec son mari, si par exemple il fait tomber un verre. A cette seule évocation, elle est tout de suite en contact avec une agitation qu’elle montre dans ses mimiques corporelles et conclut : « Je suis infecte ».
Nous poursuivons la ronde avec « infecte », et je lui propose de considérer que ce mot ne la définit que dans ces instants-là et qu’elle « n’est » peut-être pas « infecte » en permanence, qu’elle entre dans cet « état » comme dans un costume de scène, un rôle pour ces moments-là.
— Notons ensemble que vous n’aimez pas ce personnage, et nous allons nous en occuper, mais avant, dites-moi alors, quand vous n’êtes pas « infecte », comment êtes-vous ? — « Tranquille. C’est quand je suis toute seule. J’ai le cerveau reposé »
Une excursion rapide dans son histoire à 11ans ½ fait surgir une fillette «timide », « mal dans sa peau », « pas à l’aise ». « Je n’avais pas grandi par rapport aux autres filles, j’étais décalée, invisible aux yeux des autres. »
Progressivement, nous zoomons vers la 1ère cigarette . Brigitte était en 6ème, c’était avant que ses parents ne la changent d’établissement pour la mettre dans un collège privé, « avec raison » précise-t-elle. Un jour, une copine (ah, tiens ! il y en avait quand même une …) l’a invitée chez sa grand-mère. C’était à l’étage. Elle se souvient même du paquet de cigarettes et de la marque, « des Dunhill rouge » ! Un paquet brillant, il est là, devant elle ! Nous faisons tout de suite une série de tapotements sur ce nom évocateur et je lui demande de rester dans le ressenti de ce moment, d’en retrouver le goût, l’empreinte, exactement comme si elle était encore devant le paquet.
Ce n’est pas du tout difficile pour elle ; la partie d’elle-même qui a vécu ce moment est bien présente, avec un « ressenti agréable » mêlé d’interdit. Au cours des tapotements qui accompagnent l’évocation, les sensations se précisent : « Je me sens grande, je me sens plus forte ».
Comme pour l’approche du film, lorsqu’une image du passé est inscrite aussi fortement en nous, lui donner un titre permet de travailler plus facilement avec. Pas besoin d’analyser. Et pour Brigitte, ce moment de sa vie, c’est « La classe ! ». (Et j’aimerais que vous l’entendiez prononcer ce mot, en appuyant sur le « klâ »). Elle évalue le plaisir qu’elle ressent à 8/10.
Pour ceux qui s’étonneraient qu’on évalue le plaisir et non l’inconfort ou un dérangement quelconque, je précise que, ici, il s’agit de se détacher de l’objet-plaisir qui l’assujettit, la mémoire de substitution. Le « plaisir » qu’elle associe à la cigarette est justement le problème. Le souvenir qui a conditionné l’inscription fait obstacle à la tranquillité.
En évoquant cette minute, nous tapotons sur le ressenti agréable « grande », « plus forte »… sur les différents aspects du « plaisir » auxquels les sens s’associent, jusqu’à l’odorat, la gestuelle, la saveur d’ « interdit »…
Je lui demande de me décrire une nouvelle fois la scène et de retrouver tout ce qui reste encore comme sensations. Elle est surprise de sentir maintenant « ce rouge qui serre, avec une envie de vomir ». Une ronde rapide dissipe cet inconfort.
— « La classe ! », Comment ressentez-vous cette scène, maintenant ? — « J’essaie d’entrer là-dedans… », « c’est flou », « je ne m’aime pas », « j’ai une peur de repères ».
Sans poser davantage de questions, nous tapotons particulièrement sur cette expression (quelle qu’en soit la signification, elle peut se lire en écho à sa remarque du début de séance, associée à son mal être). Au cours de la ronde, je lui propose même d’alterner : « cette peur de repères » avec « j’ai perdu (tous) mes repères ».
Brigitte a maintenant « l’impression de planer », plutôt agréable, et sent son « cerveau calme ».
Nous terminons la séance avec une affirmation-choix. « Même si j’ai un petit reste de cigarette plaisir, je choisis maintenant le cerveau calme. »
Deux mois plus tard, au cours d’un échange, Brigitte me parle des améliorations ressenties depuis notre séance, elle se sent plus apaisée, avec « un poids en moins ». Elle n’a plus envie de fumer. Reste encore cependant un besoin de s’occuper, le matin particulièrement, un surcroît d’activité ou d’agitation… Une nouvelle séance est envisagée.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
Depuis toutes ces années où j’utilise l’EFT, je n’en ai jamais fini de m’émerveiller sur tout ce que je vois se produire. Cela peut même sembler « magique » lorsque cela concerne un animal. Pour moi, c’est surtout une nouvelle preuve de l’interrelation entre toutes les formes de vie et l’occasion d’un nouveau regard sur les possibilités infinies dont nous sommes nanties.
L’EFT pour un animal :
J’aperçois sur mon parking une masse ébouriffée, une tourterelle presque inerte. Je m’approche doucement pour ne pas l’affoler et je vois que ses paupières closes n’ont même pas la force de s’ouvrir. Je distingue une grosse tique sur un côté de sa tête et des saletés qui se sont amassées autour de son bec.
Précautionneusement, je l’attrape pour ôter la tique. Elle peut à peine remuer, même pas se défendre. J’en profite pour regarder si elle n’est pas blessée puis je nettoie son bec en le trempant dans un peu d’eau additionnée de 2 gouttes d’extrait de pépin de pamplemousse. Elle réagit si peu que sur l’instant je ne donne pas cher de son devenir.
Dans les minutes qui suivent arrive ma première cliente de l’après-midi. La séance terminée, je la raccompagne. La tourterelle n’a pas bougé de place ; elle semble encore plus affaissée, presque chancelante. Ma cliente me dit : « Ouhwouff… là… je crois queeee… » et nous pensons qu’il n’y a pas grand chose à faire.
Après son départ, je regarde une nouvelle fois cette tourterelle, qui semble jeune encore. Son chemin s’est arrêté là, je ne peux rien empêcher… et soudain je me souviens que j’ai « un petit truc » qui s’appelle EFT, qui marche aussi avec les animaux. S’il y a une chance de l’aider, saisissons-là. Je n’attends rien de particulier, je vais juste tapoter sur moi en me connectant à elle.
Je suis à 3 mètres en arrière et un peu décalée sur le côté. «Même si cette tourterelle est mal en point, c’est un bon oiseau. » « Elle est mal en point / à bout de forces… » Non, je n’ai pas rêvé, elle a réagi ! Son cou tressaute un peu à chaque fois que je change de point, comme pour se soulever. Pourtant je ne fais pas de bruit, je murmure à peine. Quand nous parlions tout à l’heure avec ma cliente, elle n’avait aucune réaction, elle restait prostrée…
Je poursuis la ronde en égrenant son malaise, que j’imagine : « Elle est tellement mal/ elle n’en peut plus/ elle est mal en point… ». A chaque changement de point, sa tête émerge un peu plus nettement et autant qu’elle peut tente de se tourner dans ma direction. C’est à peine croyable ! Si vite !
La première ronde achevée, je continue en disant « je », comme si j’étais elle. «Même si je me sens mal encore, je suis une bonne tourterelle . » « Je me sens mal encore / épuisée / j’ai encore du mal à bouger … », j’imagine juste dans quel état elle peut se sentir. Progressivement, la paupière de mon côté s’entrouvre, cligne plusieurs fois. Et tandis que je poursuis, la voilà qui tente d’écarter un peu une aile, maladroitement encore; elle entreprend de se nettoyer dessous, dessus… par petits coups de bec espacés, d’un côté, de l’autre. Elle est encore faible, s’arrête, récupère un peu, reprend… pendant que j’enchaîne une nouvelle ronde.
Elle semble moins groggy, même si elle n’est pas encore bien gaillarde. J’effectue une nouvelle séquence avec « encoreun reste de fatigue ». Je la vois alors se soulever un peu, essayer de se déplacer sur ses pattes, tituber, bouger encore, trouver un nouvel équilibre au sol…
Je ne peux que constater la rapidité avec laquelle elle retrouve de l’énergie. Je me surprends à sourire en la regardant. Je ne doute pas qu’elle va retrouver la force de voler.
Le téléphone m’appelle à l’intérieur. Lorsque je reviens dans le quart d’heure qui suit, elle n’est plus là !
Sans doute est-ce dans ces moments où nous lâchons nos croyances au sujet de ce qui peut s’accomplir que tout peut se passer.
Et pour ceux et celles qui se demanderaient encore comment c’est possible, je rappellerai brièvement que toutes les formes de vie s’exercent dans un champ électromagnétique et que les animaux, comme les plantes, sont dotés d’un système énergétique qui peut être perturbé, tout comme le nôtre. La connexion entre deux systèmes énergétiques permet une action par « substitution» ; par le truchement des tapotements sur mon système, une action indirecte est possible sur un autre système énergétique qui appelle à recevoir… dans le sens qui lui convient et selon ses besoins. Car il reste essentiel de garder le plus grand respect de ce qui s’accomplit et qui ne nous appartient pas.
Mais le mieux est sans doute d’essayer et de simplement constater, au-delà de tous préjugés.
Pour approfondir la communication avec les animaux, visitez le site de Laila DEl MONTE, pionnière dans ce domaine.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
L’étude de cas que me transmet Sandrine illustre la façon dont l’EFT permet de remettre en mouvement des émotions enfouies que nous n’avons pas pu, pas su ou pas voulu exprimer au moment où se sont produits des événements douloureux. Lorsqu’ils ne sont pas entendus, ces ressentis refoulés se manifestent de diverses façons, jusqu’à des années plus tard, où ils se traduisent par des douleurs comme souffre Albertine, la cliente de Sandrine.
Albertine, une femme de 81 ans, souffre de diverses douleurs, des douleurs ressenties dans la journée et qui perturbent fortement ses nuits. Cela dure depuis de très nombreuses années. Au début, elle n’en a pas fait cas. Puis, ces douleurs sont devenues tellement courantes qu’elle s’est décidée à passer (et repasser) des examens médicaux, à chaque fois le même diagnostic : rien.
Des médecins lui ont suggéré que ces douleurs pouvaient être d’origine psychosomatique.
Je m’informe sur ses douleurs et ses ressentis physiques, à quel endroit, elle ressent ces douleurs ? Elle me répond que « les douleurs sont diffuses ». Je lui demande « Si vous deviez en identifier une aujourd’hui, peut-être plus forte que les autres, ou plus présente, quelle serait-elle ? ». Mais il lui est difficile de sortir de ces sensations « diffuses ». C’est donc avec cela que nous commençons et tandis que nous tapotons sur « ces douleurs diffuses », « je ne sais pas trop où »… une zone se rappelle à son attention, plus particulièrement. Nous nous centrons sur cet endroit de son corps et nous tapotons sur les sensations qu’elle décrit à cet endroit-là.
Le « petit mieux » qu’elle peut voir est bien léger. Je continue l’investigation « depuis quand souffrez-vous? », « vous vous souvenez de la première fois où vous avez ressenti ça ? ». Elle reste silencieuse. C’est alors que je lui demande :
« Qu’est-ce que ces douleurs vous empêchent de faire ? »
Rapidement, des émotions remontent. Elle dit « Je dois souffrir ».
Je lui demande de me préciser ce qu’elle entend par là et d’où lui vient cette idée: « Mon mari est mort d’un cancer à 40 ans, il a énormément souffert et je n’ai rien pu faire pour l’aider». Elle se met à pleurer.
Il n’y a pas besoin de la replonger dans ces souvenirs difficiles, ils sont bien présents. Je lui demande alors : « Quand vous me parlez de la mort de votre mari, quelle est la pire des images qui vous revient, qui s’impose à vous ? », Elle me répond sans hésiter : « Je le revois à l’hôpital, sur le lit, les traits de souffrance sur son visage. J’ai souhaité sa mort, je ne pouvais rien faire pour alléger ses souffrances. J’ai tellement honte d’avoir souhaité sa mort ». Elle pleure, culpabilise 40 ans plus tard d’avoir eu cette pensée. Elle ne l’avait jamais dit.
« Vous parlez de honte… allez voir ce qui se passe à l’intérieur de vous quand vous avez ce sentiment, cette émotion? ». Elle répète seulement « je ne pouvais rien faire ». C’est cette phrase que nous prenons pendant qu’elle se centre sur cette sensation difficile. D’autres images de ce moment remontent, l’une après l’autre… Nous tapotons sur chacune d’elles. Progressivement, elle ressent un apaisement, comme une libération.
Comme elle était venue pour des douleurs, je lui demande si elle ressent encore un endroit douloureux dans son corps ou peut-être dans la zone qu’elle m’avait indiquée précédemment. Mais visiblement, ce n’est plus d’actualité. Comme notre séance a déjà été un peu longue, je lui propose qu’on se revoie.
Albertine revient trois semaines plus tard. Immédiatement, je vois son visage plus ouvert, lumineux, rayonnant. Elle m’annonce : « Depuis la séance, ma vie a changé à 100%, je n’ai plus de douleurs ! J’ai retrouvé de l’envie et de l’entrain. Mon entourage ne me reconnaît pas ». Afin de valider ce qu’elle me dit je la provoque un peu : « Plus du tout de douleur ? », « Vraiment ?». Elle confirme, avec un grand sourire.
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
Pendant de longues années, j’ai souffert d’une phobie des aubergines. Cela prête à sourire, je sais, cependant c’était très handicapant, pour moi et mon entourage : Au restaurant, dans les plats préparés, sur les étalages de légumes, en fait il y en a partout, surtout dans mon sud-ouest.
Quand j’étais invitée à manger, quand j’allais chez un membre de ma famille… Un stress un peu continuel et des réactions exacerbées, dont voici un exemple :
Une fois, je me souviens avoir fait deux heures de route pour aller chez ma sœur, et en arrivant, il y avait des aubergines sur la table de la cuisine. J’ai fais un scandale –menaçant de repartir illico- jusqu’à ce qu’elles aient été reléguées dans deux poches plastiques, au fond du frigo du garage, frigo auquel j’ai refusé d’avoir affaire pendant tout mon séjour.
Ce qui m’a décidé à m’occuper de cette phobie, c’est que, lors d’un stage d’EFT (niveau 2) chez Johanne, je me suis aperçue qu’il y avait, dans la cuisine, un tableau avec des légumes, dont une aubergine. Quelques centimètres de peinture sur un tableau, et me voilà complètement obnubilée, écoutant à moitié, stressée par cette aubergine peinte dans une pièce à coté…. La moutarde m’a un peu monté au nez ! Comme nous étions justement en train de parler des phobies, j’ai sauté sur l’occasion et ni une ni deux, Johanne nous a fait faire deux rondes avec juste le mot « aubergine ».
Déjà à ce moment-là, mon attitude a commencé à changer : je trouvais ridicule cette obsession de considérer ce légume comme un ennemi, un poison. Quelques jours plus tard, je me trouvais devant un étalage de légumes, stationnée à coté des aubergines (!), et j’ai eu envie de tendre la main et d’en prendre une, superbe ! J’ai été sidérée mais je me suis laissée faire et je l’ai prise –et acheté. J’ai noté que j’avais des réactions corporelles : des frissons quand je la touchais, et une très très forte envie de me laver les mains comme si j’avais touché quelque chose de toxique. Ce test me permettait de voir qu’il restait encore quelque chose.
Une fois dans ma propre cuisine, sur ma table, je me suis astreinte à la manipuler, à m’imaginer en train de la cuisiner, etc, cherchant ce qui coinçait.
Dans les semaines qui ont suivi, j’ai traité toutes les manifestations, les unes après les autres, en les « effaçant » avec des rondes d’EFT. J’ai même réécrit à la place avec la technique TRIO-CHOIX apprise au niveau 2 de l’EFT. Une vraie libération…
Comme j’aime cuisiner, j’ai choisi de faire preuve de curiosité : qu’est-ce que je peux faire avec ce légume ? Et je m’en donne à cœur joie, cuisinant avec beaucoup de plaisir ce légume et le servant régulièrement sur la table familiale. Je me suis offert, là, une belle liberté.
Comme dit Gary Craig : L’EFT, essayez-le sur tout !
Irène
Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources: Johanne Desterel, Praticienne et formatrice EFT, Zensight. courriel :jod470@orange.fr, site : https://johannedesterel.com
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