Lilou MACE a donné la parole à Anita Moorjani, qui a guéri son cancer au cours d’une expérience de Mort Imminente (EMI ou NDE) qu’elle partage ici.
Un site (en français) lui a permis de s’exprimer longuement sur cette expérience.
Elle y détaille sa compréhension de la maladie et de la manière dont nous créons notre réalité. Sa conclusion, magnifique, est un cri d’AMOUR pour ce que nous sommes.
Ci-dessous, quelques extraits des réponses qu’elle apporte. Mais vous pouvez aller directement voir l’intégralité de ses propos sur la page :
» On m’a montré comment les maladies démarrent à un niveau énergétique avant de devenir physiques. Si je choisissais d’aller vers la vie, le cancer allait disparaître de mon énergie et mon corps physique allait récupérer très rapidement. J’ai ensuite compris que lorsque les personnes ont des traitements médicaux pour les maladies, ceux-ci éliminent la maladie du corps uniquement, mais pas de l’énergie, donc la maladie revient. J’ai réalisé que si je revenais, ce serait avec une énergie très saine. Ensuite le corps physique allait très rapidement et définitivement se mettre au niveau de l’état énergétique. On m’a fait savoir que ceci est valable pour tout, pas seulement pour la maladie – l’état physique, l’état psychologique, etc.. On m’a « montré » que tout ce qui se passe dans nos vies dépend de cette énergie qui nous environne, créée par nous. Rien n’est immuable, nous créons notre environnement, notre état, etc. en fonction de l’état de cette « énergie ». La clarté qui m’a été accordée par rapport à ce que nous obtenons, à ce que nous faisons, était phénoménale ! Tout dépend de notre niveau énergétique. On m’a fait sentir que j’allais voir des « preuves » de première main si je retournais dans mon corps.
De plus, avec les examens médicaux qui ont été effectués, même s’ils étaient déjà faits, les résultats dépendaient de ma décision de revenir à la vie ou non. Cela a vraiment changé ma conception du temps !!
(…)
Le temps semble avoir une signification totalement différente dans l’au-delà. Ce que j’ai ressenti, c’est que toutes les possibilités existent simultanément, cela dépend seulement de celle que l’on choisit. C’est un peu comme lorsqu’on se trouve dans un ascenseur, tous les étages d’un immeuble sont disponibles, mais on peut choisir à quel étage on sort. Donc si toutes les éventualités à venir sont disponibles pour ma décision, alors je suppose que tous les scénarios passés existent également. Ainsi, selon la possibilité à venir que je choisis, cela détermine également quel passé l’accompagne automatiquement (j’ai choisi la vie, cela a donc influencé le passé, sélectionnant le résultat d’examen approprié pour la fonction organique). J’espère être claire. C’est très net dans ma pensée, mais c’est difficile à mettre par écrit. Lorsqu’on ma donné le choix, j’ai en fait eu une vision de la feuille de résultats du labo, intitulée : « Diagnostic : Défaillance des organes ». Puis dans le corps du texte : « Mort due à une défaillance des organes causée par un lymphome de Hodgkin ». Lorsque j’ai effectivement vu la feuille après être revenue, la page était pratiquement identique et le titre correspondait mot pour mot : « Diagnostic : Défaillance des organes », mais le corps du texte spécifiait : « Il n’y a pas d’indication de défaillance des organes ». J’ai vraiment eu la chair de poule en voyant cette feuille, sachant ce qui aurait pu y être inscrit.
(…)
Deux choses m’ont principalement touchées, l’une a été la capacité de changer le résultat des examens. Cela m’a fait réaliser que rien n’est solide (ou réel). On peut tout changer. La deuxième chose, encore plus importante, c’est la manière dont mon corps est passé en si peu de temps de quasi mort par cancer à pleine santé sans trace de maladie ! Cela ne me donne pas seulement le sentiment que rien n’est réel (y compris le cancer, une modification de conscience l’a fait disparaître !), mais cela me rend également très forte, j’ai maintenant une compréhension totalement différente de la vie.
(…)
J’ai vu toute personne en tant « qu’énergie », en fonction de son propre niveau d’énergie correspond le monde qu’on crée pour soi-même. Le savoir que j’ai retiré de ceci, c’est que si le cancer n’est pas dans « l’énergie » d’une personne, il n’est pas dans sa réalité. Si se sentir bien vis à vis de soi-même est dans son énergie, alors sa réalité sera positive. Si le cancer est dans son énergie, même si on l’éradique avec la médecine moderne, il va revenir rapidement. Mais si on le supprime de son énergie, le corps physique suit promptement. Aucun d’entre nous n’est aussi « réel » ou physique que nous pensons l’être. D’après ce que j’ai vu, il semble que nous soyons d’abord de l’énergie, le physique n’est que le résultat de l’expression de notre énergie. Et nous pouvons changer notre réalité physique si nous modifions notre énergie (certaines personnes ont relevé que j’utilise le terme « Vibration »). Pour moi, personnellement, on m’a fait sentir qu’afin de conserver mon énergie/vibration à un niveau élevé, je devais vivre dans le présent, profiter de chaque moment de la vie, utiliser chaque instant pour rehausser le suivant (qui à son tour rehausse mon avenir). C’est au moment où l’on rehausse son niveau d’énergie que l’on peut modifier son avenir (comme mes résultats d’examens). Cela paraît très simpliste, mais le sentiment était très profond lorsque j’en vivais la compréhension.
(…)
Le monde extérieur n’est que le reflet de mon monde intérieur !
Beaucoup de personnes disent que le monde est très négatif, mais ce n’est pas tout à fait vrai. Regardez autour de vous, TOUT existe simultanément dans cet univers, le positif comme le négatif. Il y a la pauvreté, la richesse, la maladie, la santé, l’amour, la haine et la peur, le bonheur et le désespoir, etc.. Il n’y a PAS plus de négatif que de positif. C’est seulement parce que l’on choisit de voir le monde de cette manière qu’il existe plus de négatif. Plus on choisit de voir les choses ainsi, de leur donner notre attention et notre énergie, plus on les attire dans sa vie, les créant dans sa propre réalité personnelle.
NDERF: « S’il y avait un message ou une leçon de votre EMI que vous souhaiteriez faire connaître ou comprendre, quelque chose que vous voudriez crier sur les toits, de quoi s’agirait-il ? »
« Je voudrais que CHACUN de vous sache que chaque partie de lui est magnifique. Votre ego, votre pensée, votre intellect, votre corps, votre esprit, votre âme. C’est ce que vous êtes. Un superbe produit de la création de cet univers. Chaque part de vous est parfaite. Il n’y a rien à abandonner, rien à pardonner, rien à atteindre. Vous êtes déjà tout ce que vous devez être. Nous rendons cela tellement compliqué. Mais ça ne l’est pas. Si une religion fait que vous vous sentiez inférieur à Dieu, alors soit vous l’avez mal interprétée, soit elle ne fait pas correctement son travail en vous enseignant la vérité. Si un Gourou ou un Guide ou un maître vous fait ressentir que vous n’êtes pas « encore » éclairé, que vous devez encore « apprendre », « renoncer » ou « abandonner » avant d’y parvenir, alors il ne fait pas du bon travail en vous enseignant qui vous êtes, ou bien vous traduisez mal sa pensée.La majeure partie de notre souffrance provient du fait que nous nous sentons « inférieur ». Nous ne sommes pas INFERIEUR A QUOI OU A QUI QUE CE SOIT !! Nous sommes complets !La SEULE CHOSE qu’il vous faille apprendre, c’est que vous ETES déjà ce que vous cherchez à atteindre !! Exprimez juste votre unicité avec abandon !! C’est la raison pour laquelle vous êtes fait tel que vous l’êtes, c’est pourquoi vous êtes ici dans le monde physique !! «
Anita MORJANI a écrit son histoire et partage son expérience :
Diagnostic incurable mais revenue guérie à la suite d’une NDE : Mon voyage de guérison des frontières de la mort aux portes de la vie [Reliure Inconnue]
Anita Moorjani (Auteur), Wayne Dyer (Préface), Christine Lefranc (Traduction)
et un 2ème ouvrage:
Mourir pour vivre : D’une expérience de mort imminente à la complète guérison du cancer Anita Moorjani (Auteur)
En 2007, le célèbre psychanalyste québécois Guy Corneau découvre qu’il souffre d’un cancer. Très avancé. Or, moins d’un an après, il est en rémission. Il relate sa traversée de la maladie dans un livre, « Revivre! ». C’est dans l’appartement parisien qu’il a loué pour trois mois, en plein cœur du très vivant Marais, que Guy Corneau nous reçoit. Il dit ne plus être le même homme qu’avant le cancer, mais il a toujours la même soif de partager ses expériences, ses découvertes. Il est donc en pleine tournée de conférences et viendra parler de son livre en Suisse à mi-mars. Les yeux illuminés par la richesse de sa vie intérieure, il évoque sans dogmatisme toutes les ressources qu’il a mises en œuvre pour favoriser son retour à la santé, parle beaucoup de la puissance de l’esprit, nous incite à renouer avec le meilleur de nous-mêmes, à retrouver le goût de vivre.
« Mon cancer m’a redonné le goût de la vie » Guy Corneau
Vous vous êtes remis d’un cancer de stade IV, touchant l’estomac, la rate et les poumons, en moins d’un an! Quelle est votre formule magique?
Il n’y a pas de formule magique, pas de recette. J’ai associé beaucoup de types de médecines différentes pour intervenir aussi bien au niveau du corps que de l’esprit et de l’âme. Chimiothérapie, médicaments, mais aussi les plantes. J’ai fait beaucoup de jus de verdures et des choses comme ça, j’ai fait attention à mon alimentation, j’ai eu recours à l’homéopathie, beaucoup de visualisation, de méditation, la nature, mes proches. J’ai refait une psychothérapie… Un ensemble de choses qui m’ont permis de retrouver le goût de vivre, au fond.
Vous qui êtes plutôt médecines douces, vous avez accepté la chimiothérapie ?
Pas de bon cœur, mais je la conseillerais à tous les gens très malades. La chimio, la radiothérapie, les médicaments, ça combat quand même directement l’inflammation. Au pire, ça vous donne du temps pour agir autrement. Je me disais aussi que je pourrais nettoyer tout ça après. Là, d’ailleurs, je suis en train de nettoyer tout ce qui reste de traces de chimie dans mon corps.
Mais la chimio ne suffit pas?
Non. J’ai eu la chance, au fond, d’être très malade avant tout ça. J’ai souffert durant trente ans de colite ulcéreuse. Les anti-inflammatoires et la cortisone m’ont sauvé la vie au moins deux ou trois fois, mais je me rendais compte qu’à long terme ils ne réglaient pas le problème. Donc j’ai commencé à tout écumer, à chercher, à parler autour de moi, à associer toutes les techniques qui pouvaient m’aider; et, là, j’ai vraiment guéri. J’ai fait la même chose pour mon cancer.
Quelles techniques vous ont le plus aidé?
Je crois à la synergie. Mais c’est sûr qu’il y a des choses sur lesquelles on a plus de prise. La chimiothérapie, l’environnement, le terrain génétique, vous n’avez pas beaucoup de prise là-dessus. On en a déjà davantage sur ce qu’on mange. Et je pense que la place où l’on peut vraiment se prendre en main, c’est nos états intérieurs, c’est notre psychologie, au fond. C’est pour ça que j’insiste sur l’importance qu’il y a à travailler là-dessus.
Recommanderiez-vous à tous ceux qui ont un cancer de faire une psychothérapie?
Oui. Pour deux raisons. La première, c’est qu’on a besoin d’un soutien par rapport à l’angoisse, aux dépressions qu’on va rencontrer. Parfois, notre entourage peut l’apporter, mais parfois ils sont tellement contractés que ça renforce vos propres peurs. Et puis on ne peut pas tout partager avec eux, par crainte de blesser, de gêner. On a besoin d’un endroit où l’on puisse s’exprimer librement, se laisser aller. L’autre raison, c’est d’aller voir comment je ressens ma propre maladie, comment je ressens les organes qui sont atteints; ça permet de se mettre à l’écoute de ce qui est en jeu.
La maladie a donc un sens?
C’est toujours intéressant de se mettre à l’écoute du sens d’une maladie. Même une grippe. Pourquoi est-ce que j’attrape une grippe à tel moment? La plupart du temps, c’est parce qu’on est fatigué, qu’on a besoin de se cocooner un petit peu. Donc de revenir à soi. La maladie invite toujours à revenir vers soi, à une sorte d’intimité avec soi. Et c’est sûr que les êtres humains sont des chercheurs de sens. On se pose la question: pourquoi moi? pourquoi ça m’arrive? Il faut tenter de répondre à ces questions. Mais je dirai aussi qu’il est très important de ne pas en faire une obsession, car alors ça devient une dictature. On tourne encore dans notre mental. C’est pour ça que je dis aux gens que ce qui est intéressant, c’est de se mettre à l’écoute du sens. Pas tant chercher, chercher, chercher, mais écouter ce qui peut venir de soi.
Comment se met-on à l’écoute du sens?
Oh, vous fermez les yeux quelques secondes et vous laissez venir. Des couleurs, des souvenirs, des idées… Après, on peut amener la parole extérieure, chercher ce que la médecine chinoise dit de ça, ce que l’homéopathie propose, consulter des livres… Ah, ils disent ça? Tiens, ça, ça me parle. Il faut aller vers les choses qui résonnent en nous et, en fait, on tricote sa chose comme ça. Le plus important, c’est d’être vivant par rapport à ça, de se mettre en quête de quelque chose. Parce que, ce que le corps entend à ce moment-là, ce que les cellules entendent, c’est: «Tiens, tout à coup on a de l’attention, on n’existait pas et tout à coup on existe.» Comme un enfant fatigant, qui ne vous lâche pas. Tout à coup, vous lui donnez de l’attention, il arrête.
Mais si l’on ne trouve pas le bon sens?
Il n’y a pas un bon sens. Ce qui compte, c’est qu’il y ait du sens à votre maladie, que vous cherchiez un chemin, que vous le trouviez. Ce sera de toute façon un chemin d’attention à soi, de respect approfondi de soi, et ça, c’est déjà un élément guérisseur. Ça stimule la guérison.
La maladie dénonce-t-elle toujours, comme vous le dites, un écart entre soi et soi-même?
Oui, parce que souvent on devient quelqu’un par la force de la vie, la force des choses, les attentes de nos parents. On se trouve un chemin au fond. Et c’est souvent une sorte de compromis par rapport à ce qu’on sent qu’on aurait pu devenir. C’est de cet écart-là que je parle. S’il devient trop grand, si la vie qu’on mène n’est plus assez satisfaisante, il y a une perte de joie de vivre. Et si elle est trop forte, la maladie s’installe; elle vient vous dire qu’il y a quelque chose qui ne va plus, qu’il faut aller voir ce que c’est.
On est donc responsable de son cancer?
Non! Je dirai que la maladie est une occasion de devenir responsable de soi. De ce qu’on a fait avec ses talents, avec ses goûtsqui n’ont pas encore trouvé leur expression. De mieux se connaître. Moi, j’ai réalisé que j’avais oublié mon goût pour les activités artistiques, que tout ce que je faisais, les conférences, les livres, la télévision, et qui était passionnant au début, toutes ces choses étaient devenues des charges et des responsabilités qui m’ont poussé à beaucoup trop négliger l’aspect ressourcement de la vie: être avec mon amoureuse, mes amis, dans la nature, faire de la poésie, de la musique… Je suis convaincu que trouver du sens et trouver de la joie, ça libère de l’énergie, et cette énergie-là peut être utilisée pour revenir à la santé.
Vous avez aussi beaucoup travaillé sur vos états intérieurs pour stimuler la guérison. Comment?
Surtout grâce à la visualisation et à la méditation, que j’ai pratiquées radicalement, tous les jours. C’est comme les poids et haltères. On part d’une pensée positive, on l’amène au niveau d’une sensation et, à force de pratique, on réveille notre capacité à regarder et à sentir les choses dans une lumière positive. J’ai mis sur mon site un exercice de dialogue avec les cellules, qui est gratuit et qui peut vous guider dans un travail de visualisation. Le premier temps, c’est une détente, le deuxième une écoute des organes touchés, et la troisième partie, c’est justement d’utiliser la force de la pensée positive, créatrice, pour créer un paquet de nouvelles cellules, de les imaginer dansantes, lumineuses…
N’est-ce pas de l’ordre de la pensée magique?
Si vous êtes inquiète, vous vous sentirez mal, vous aurez une boule au plexus. Alors, si des pensées négatives arrivent à bouger votre physiologie, pourquoi des pensées positives ne le pourraient-elles pas? Il n’y a rien de magique dans cette approche: nous sommes faits de milliards de cellules, elles sont le plus petit dénominateur et ce sont elles qui sont les plus faciles à influencer aussi.
Comment Monsieur Tout-le-Monde peut-il s’y retrouver dans toutes ces techniques et éviter les charlatans?
Il faut aller vers ce qui nous parle et fuir tous ceux qui prétendent détenir la vérité et veulent vous l’imposer. Se faire confiance un peu et, aussi, se dire qu’il n’y a aucun élément qui peut vous sauver à coup sûr. On ne peut que favoriser le retour à la santé, c’est la nature qui décide. Il faut surtout sortir de son isolement et briser le silence. Le premier enseignement de la maladie, c’est qu’on ne peut pas s’en sortir seul. Faites-vous accompagner, demandez autour de vous: il y a plein de gens qui ont de l’expérience. Et faites, quand vous le pouvez encore, le choix de vous donner du temps !
Durant votre cancer, vous avez accompagné une amie atteinte d’un cancer du sein et qui en est morte. Quels conseils donneriez-vous à ceux qui ont un proche malade?
De dire ce qu’ils ont à dire, en respectant la personne et en lui laissant sa liberté. C’est difficile. J’ai trouvé bien plus difficile d’accompagner Yanna que d’avoir le cancer. Comme malade, on a toujours quelque chose à faire. Mais quand on accompagne, on est juste assis là, on rend de petits services… On vit plus d’impuissance et de révolte. Pourtant, il faut s’organiser pour rester en forme et de bonne humeur à travers tout ça car, quand on est très malade, la personne qui vous fait le plus de bien est celle qui est de bonne humeur dans votre chambre. Un autre conseil pour aider les malades, qui souvent se font des reproches sur leur vie, c’est de les amener à revenir au niveau des intentions avec lesquelles ils ont fait les choses. On peut ainsi les aider à se respecter, à s’aimer, puisque même ce qu’on n’a pas bien réussi part en général d’une bonne intention.
Pourquoi avoir fait un livre de votre expérience?
Je voulais donner une sorte de chemin aux gens et leur permettre de l’évaluer et de se dire: « Tiens, il a fait son cocktail comme ça et ça a bien réussi. Peut-être que je peux faire le mien. »
Entrevue publiée dans l’ « Infolettre » de Terre de Lumière du 12 mars 2011.Publiée avec permission http://www.terre-de-lumiere.com
Il n’y a pas de guérison en tant que telle, tout est autoguérison!
Voici un extrait de l’excellent livre Revivre ! de Guy Corneau
« Les médecins et leurs médicaments, les thérapeutes et leurs techniques, les suppléments alimentaires et vitaminiques, tout cela a pour véritable effet de stimuler nos propres mécanismes de survie, ceux qui sont intérieurs à chaque cellule et qui font partie du patrimoine organique de l’être. La chimie, le repos, la psychothérapie, la fantaisie, la beauté, l’amitié, l’amour, la nature et l’expression servent tous à animer et à stimuler ces mécanismes si précieux. Ces éléments agissent comme autant d’environnements bénéfiques vis-à-vis d’une guérison qui vient de l’intérieur. Voilà pourquoi il ne saurait y avoir de formule magique émanant de l’extérieur. Une fois que l’on a mis en place le cadre guérisseur qui nous convient, il faut par la suite compter sur ses propres ressources, cultiver ses états intimes, activer le plus de joie possible et faire confiance à la vie.
Nous cherchons à l’extérieur le coup de baguette magique. Mais il vient de l’intérieur. La maladie sert justement à éveiller le magicien de la vie dont les ressources dorment, négligées. Je ne sais pas pourquoi il est si difficile de se convaincre d’une telle chose.
Sans cesse, je dois me le rappeler à moi-même. Sans cesse. Le mécanisme consistant à chercher de l’aide à l’extérieur est si fort que l’on oublie avec la plus grande facilité du monde que les sensations d’amour, de paix et de liberté intérieure constituent les agents de guérison les plus puissants. »
Accéder aux ressources intérieures
Dans son livre « Revivre », Guy Corneau propose plusieurs exercices de guérison privilégiant le retour à soi et notamment le texte d’une visualisation en méditation guidée d’un « Dialogue avec mes cellules« . Il a enregistre par la suite, avec son ami Pierre Lessart* une version audio accessible avec le lien ci-dessous. (Pierre Lessart est l’auteur du livre « Manifester ses pouvoirs spirituels« )
Une interview de Christophe PAIN à propos du livre co-écrit avec son frère Frédéric: « Le chemin de la guérison » :
Le constat est simple : si la vie n’est que le résultat d’une histoire de survie réussie, nous développons bien plus de maladies que les animaux dans leur milieu sauvage ! Malgré l’ensemble des thérapies existantes et des traitements surpuissants, guérir relève encore du miracle… Et pourtant !
La médecine officielle et sa pharmacopée a fait de réelles avancées dans le domaine du « soin ». Mais devant une polyarthrite rhumatoïde, une fibromyalgie, une maladie de Crohn, une maladie de Parkinson, un diabète type I ou II, des douleurs chroniques, des migraines, une dépression, une maladie auto-immune, elle ne vous propose qu’un « soulagement » partiel ! Elle ne peut qu’atténuer les symptômes, mais en aucun cas guérir ces maladies…
Alors, ceux qui ont tenté de s’en sortir, ont déjà tout fait, ont même souvent « identifié » les raisons de leur maladie, mais n’ont toujours pas découvert « Le chemin de la guérison ». Serait-il possible, comme A.Einstein l’avait écrit, de changer de niveau de pensée ? Le problème à résoudre n’est-il pas celui de trouver l’origine du développement de nos maladies ? Serait-il alors envisageable d’accéder à leur guérison ? Et si la maladie n’était que la forme observable de nos réactions de défense ? Et si ces réactions pouvaient être découvertes à partir de ceux avec lesquels nous vivons ? Parce que la T.Q.i a été mise au point dans cette « complexité » familiale, elle s’applique aussi, avec une très grande facilité, à toutes les personnes qui vivent seules ! –
Le domaine des neurosciences n’en est encore qu’à ses balbutiements mais prometteurs…
S’interrogeant sur une expérience vécue de la transe chamanique, Corine SOMBRUN aurait-elle mis le doigt sur des capacités encore mal connues (ou mal explorées) du cerveau?
Elle témoigne de cette expérience et des recherches entreprises sur le fonctionnement de son cerveau dans ces états de transes avec l’aide de scientifiques.
Je vous laisse découvrir cette vidéo : « La transe chamanique, capacité du cerveau«
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